«Ça a dû me monter à la tête» : Patrick Bruel évoque comment sa ...
VIDÉO - Le chanteur de 64 ans a répondu aux questions d’Isabelle Ithurburu dans le portrait de la semaine de «50’Inside». Dont certaines sur sa gestion de sa vie privée.
Présenté depuis le début de sa carrière dans les années 80 comme un chanteur à femmes, Patrick Bruel de J’te le dis quand même est ce samedi 27 avril le portrait de la semaine d’Isabelle Ithurburu dans « 50’ Inside». Le grand public se souvient de ces fans, en début ou fin de concert, qui scandait son nom à plein poumon. Et il est vrai que depuis près de 40 ans, son public est largement composé de femmes. «Il reste encore beaucoup de femmes dans les concerts», souligne-t-il face à la remplaçante de Nikos Aliagas.
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Cette dernière en profite pour le questionner sur l’impact qu’a eu cette image de don juan sur sa vie. « Ça a dû un peu me monter à la tête. On ne peut pas dire qu’on sorte indemne d’une telle déflagration. Mais je crois - et mon entourage peut en témoigner - que j’ai gardé les pieds sur terre comme on dit. Et surtout j’ai été bien entouré. » En effet, cette notoriété n’a jamais empêché l’artiste de construire des relations sérieuses. En 2004, Patrick Bruel s’est marié avec l’écrivaine Amanda Sthers avec qui il a eu deux garçons : Oscar et Léon. Après leur divorce en 2007, il s’est successivement mis en couple avec Céline Bosquet, présentatrice télé de 2009 à 2012 puis la mannequin danoise Caroline Nielsen de 2013 à 2017.
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« Rencontrer quelqu’un quand on est Patrick Bruel n’est pas plus compliqué. Mais la personne vous connaît un peu mieux que vous ne la connaissez donc forcément il y a un chemin qui doit se faire. Mais ça va, ça se passe plutôt bien », affirme-t-il avec le sourire comme pour rassurer ses fans. Depuis 2018, l’homme de 64 ans vivrait une idylle avec une prénommée Clémence. La jeune femme, de trente-trois ans sa cadette, serait elle aussi mannequin. Cela dit, Patrick Bruel maintient une discrétion quasi complète sur sa vie de couple, ne souhaitant pas la surmédiatiser ou réduire sa compagne à l’étiquette de « femme de ». « Je sais ce que ça peut avoir de réducteur ou problématique, dans un parcours, d’être exposé pour d’autres raisons que ce que l’on est ou ce que l’on fait », avait-il récemment confié à la presse.