« Pas son genre » : 5 infos sur le film avec Emilie Dequenne
Ce soir à 21h 05, France 3 diffuse Pas son genre, un film franco-belge avec Loïc Corbery et Emilie Dequenne. Si vous n’avez pas vu le film, voici 5 infos qui vous donneront envie de le regarder.
1/ Box-Office
Le film n’a rassemblé que 345.000 entrées au box-office en France et en Belgique sur seulement 2 semaines d’exploitation pour un budget de 5,5 millions d’euros.
2/ Récompenses
Le film a été récompensé largement aux Magritte, l’équivalent des César en Belgique, avec 7 nominations et 3 prix : celui de la meilleure actrice pour Emilie Dequenne, celui du meilleur son et celui du meilleur scénario original ou adaptation. Concernant nos César, le film a été nommé 2 fois, dans la catégorie Meilleure Actrice et Meilleure Adaptation.
3/ Tournage
Le film a été tourné entre Paris et la région Hauts-de-France, entre Arras pour le carnaval de Printemps et Cassel. Lucas Belvaux, originaire de Belgique, justifie ce choix en disant : « Je n’ai pas eu à tricher, c’était dans le livre ! Les deux grandes places d’Arras m’apparaissent comme des décors de théâtre, des toiles peintes »
4/ Un personnage qui lui colle à la peau
Emilie Dequenne qui campe Jennifer, confie que ce personnage est proche de ce qu’elle est dans la vie. Elle déclare à ce sujet : « C’est une fille optimiste, une fille qui va de l’avant, une fille moderne, indépendante. En un mot : vivante ! Enfin une fille sans problème ! ». Si psychologiquement, le personnage lui ressemble, physiquement, elle a du se raccourcir les cheveux et se teindre en blonde.
5/ Une chronique à la radio
Lucas Belvaux, le réalisateur du film a eu l’idée du film grâce à une chronique sur France Culture de Clémentine Aubain qui parlait du roman dont est adapté le film, Pas son genre de Phillippe Vilain, paru aux Editions Grasset.
Pas son genre, résumé d’une love storyClément, jeune professeur de philosophie parisien, est affecté à Arras pour un an. Loin de Paris et ses lumières, il ne sait pas à quoi occuper son temps libre. C’est alors qu’il rencontre Jennifer, jolie coiffeuse, qui devient sa maîtresse. Si la vie de Clément est régie par Kant ou Proust, celle de Jennifer est rythmée par la lecture de romans populaires, de magazines «people» et de soirées karaoké avec ses copines. Leurs cœurs sont libres, mais cela suffira-t-il à renverser les barrières culturelles et sociales ?
Pas son genre, jeudi 27 février à 21h05 sur France 3