VIDÉO – Nathalie Iannetta perturbée par un coup de vent pendant ...
C’était le grand soir pour Thomas Sotto et Nathalie Iannetta : ce mardi 23 juillet dès 21 h 10, tous deux accueillaient sur le plateau de France 2, délocalisé pour l’occasion sur le parvis du Trocadéro à Paris, le Président de la République. À moins de trois jours du lancement des JO, Emmanuel Macron s’est de nouveau plié au jeu de l’interview, répondant aux nombreuses questions des journalistes. Au programme : dissolution de l’Assemblée nationale, élections législatives, crise politique, crise sociale, et bien évidemment, les Jeux Olympiques de Paris 2024. Eh bien évidemment, pour faire le lien entre politique et sport, Nathalie Iannetta a interrogé le Chef de l’État sur le sort des délégations israélienne et russe…
Pour rappel, si la première est sous protection policière et a été autorisée à défiler lors de la cérémonie d’ouverture, la seconde est purement et simplement interdite de JO à la suite de la décision de Vladimir Poutine d’envahir l’Ukraine. Une décision qu’Emmanuel Macron comprend : “Nous condamnons [les attaques d’Israël à Gaza], mais ce n’est pas une guerre d’agression !” a-t-il souligné au micro de Nathalie Iannetta, qui malgré le ton grave de la conversation, a été quelque peu déconcentrée. Eh oui, inconvénient du direct, une bourrasque de vent a failli faire s’envoler toutes les notes de la journaliste. Elle a pris cet incident avec humour en lançant au Chef de l’État : “On va s’envoler !” Ce dernier a esquissé un léger sourire, mais est resté impassible, fidèle à son rang, tandis que le vent balayait son brushing.
JO de Paris 2024 : La Russie, privée de compétition
Pour rappel, à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022, quelques jours après la fin des JO de Pékin, le Comité international olympique (CIO) a décidé de bannir la Russie des prochains Jeux de Paris, en invoquant une “violation de la trêve olympique”. Seule une poignée d’athlètes russes a été autorisée à participer sous bannière neutre. Cette décision du CIO s’accompagne de strictes conditions : les athlètes doivent prouver qu’ils ne soutiennent pas la guerre en Ukraine et qu’ils n’entretiennent aucun lien avec l’armée russe. Les athlètes biélorusses ont été soumis aux mêmes exigences.
Article écrit en collaboration avec 6Médias.
Crédits photos : Capture d'écran France 2