Mort d'un principal de collège à Lisieux : le rectorat met en place des ...
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Selon France Bleu Normandie, la rectrice Christine Gavini-Chevet sera présente dans l’établissement pour la pré-rentrée des personnels, le 1er septembre, puis lors de la rentrée des élèves. L'autopsie pratiquée lundi sur le corps de la victime n'a pas permis de déterminer les causes exactes de son décès.
Radio France
Publié le 15/08/2023 11:59 Mis à jour le 15/08/2023 12:21
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Le rectorat de l'Académie de Normandie annonce la mise en place de cellules d'écoute à partir de jeudi pour le personnel du collège Pierre-Simon de Laplace à Lisieux après la mort brutale de son principal, rapporte France Bleu Normandie (Calvados-Orne) mardi 15 août. "Celles-ci seront maintenues aussi longtemps que nécessaire et pourront, le cas échéant, orienter chacun vers une prise en charge plus complète", précise le rectorat dans un communiqué.
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L'académie assure que toutes ses ressources sont "d’ores et déjà mobilisées afin de soutenir et d’accompagner les personnels et les élèves à l’approche de la rentrée". La rectrice Christine Gavini-Chevet sera présente dans l’établissement pour la pré-rentrée des personnels, le 1er septembre, puis lors de la rentrée des élèves, précise France Bleu Normandie (Calvados-Orne). Un moment de recueillement sera organisé en hommage au principal décédé, Stéphane Vitel, ainsi que des temps d’échanges "pour accompagner chacun lors de la reprise des cours", indique le rectorat.
Les hommages se multiplient depuis vendrediDepuis la mort de Stéphane Vitel, vendredi 11 août, après le déclenchement de l'alerte intrusion de l'établissement, les hommages se multiplient. Un nouveau rassemblement est organisé, ce mardi à 14h30, devant l'ancien établissement dirigé par Stéphane Vitel, le collège Fernand-Léger à Livarot-Pays-d'Auge, rapporte France Bleu Normandie (Calvados-Orne). Les participants pourront déposer des bougies et des roses.
L'autopsie pratiquée lundi sur le corps de la victime n'a pas permis de déterminer les causes exactes de son décès. Elle "n'a pas pu exclure l'intervention d'un tiers, ni établir avec certitude une cause naturelle du décès", a expliqué le procureur de la République de Lisieux dans un communiqué. Des analyses toxycologique et anatomopathologique complémentaires ont été demandées.
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