EN DIRECT Résultats de l'élection américaine : Biden félicite ...

La Bourse de New York a clôturé en fanfare, réjouie de la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine, qui a propulsé ses trois indices vedettes à de nouveaux records.

Le Dow Jones a bondi de 3,57%, l'indice Nasdaq de 2,95% et l'indice élargi S&P 500 de 2,53%.

La victoire de Donald Trump est pour lui non seulement une très plaisante revanche mais aussi un grand soulagement. L'ancien président avait une puissante motivation personnelle à faire campagne. Son retour à la Maison-Blanche signifie en effet presque certainement la fin de ses ennuis judiciaires et le risque, jusqu'à mardi bien réel, de finir derrière les barreaux. Trump a d'ailleurs dit à plusieurs de ses proches qu'en cas de victoire ses dossiers « s'en iraient ».

La Constitution américaine ne donne certes pas au président les moyens de contraindre les procureurs à abandonner les poursuites, mais dans la réalité les immenses pouvoirs dont est doté l'hôte de la Maison-Blanche lui offrent la possibilité d'ajourner les débats presque indéfiniment, voire de les faire annuler. Trump président peut donc mettre un terme aux quatre procédures qui aujourd'hui le menacent.

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L'Union européenne doit dépenser davantage pour sa sécurité, non en raison de l'élection de Donald Trump mais à cause de la menace russe, a déclaré mercredi le nouveau commissaire européen à la Défense Andrius Kubilius.

Les Européens ont augmenté leurs budgets militaires depuis l'invasion russe de l'Ukraine en 2022, mais «nous devons dépenser encore plus, et non parce que le président (élu) Trump nous le demande, mais en raison de (Vladimir) Poutine, de la menace représentée par Poutine», a-t-il déclaré devant les eurodéputés à Bruxelles. Il a également averti que, selon de «récents rapports de services de renseignement», la Russie «pourrait tester la résolution de l'UE ou de l'Otan avant la fin de la décennie». C'est pourquoi, a-t-il souligné, «nous devons de façon urgente renforcer l'état de préparation de l'UE à une éventuelle agression militaire. C'est de cette façon qu'on peut la dissuader», a ajouté Andrius Kubilius.

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Les cours du pétrole ont limité leurs pertes après un décrochage mercredi causé par la percée impressionnante du dollar après l'élection de Donald Trump. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier a perdu 0,81% à 74,92 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en décembre, a lâché 0,42%, à 71,69 dollars. Plus tôt dans la journée, Brent et WTI avaient respectivement glissé à 73,34 et 69,74 dollars.

«Lorsqu'il est devenu évident que Donald Trump allait devenir le prochain président des États-Unis, les prix du pétrole ont d'abord chuté, en partie parce que le dollar a explosé», a commenté auprès de l'AFP Phil Flynn, de Price Futures Group.

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Le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, a félicité Donald Trump mercredi pour sa victoire dans la course à la Maison-Blanche, espérant la paix et la stabilité au Moyen-Orient.

«Je lui souhaite beaucoup de succès (...) et j'ai hâte de parvenir ensemble à la paix, à la stabilité régionale et au renforcement du partenariat stratégique entre l'Egypte et les Etats-Unis et leurs peuples amis», a déclaré le président Sissi sur son compte officiel X.

Le dirigeant égyptien s'est dans la soirée entretenu par téléphone avec le président américain élu, soulignant l'intérêt de l'Egypte à poursuivre la collaboration au vu «de la nature stratégique des relations de longue date entre les deux pays et de la coopération spéciale entre les deux parties au cours de son premier mandat», afin de «contribuer à la stabilité, à la paix et au développement au Moyen-Orient», selon un communiqué de la présidence égyptienne.

Le président Joe Biden a «félicité» Donald Trump et l'a «invité» à la Maison-Blanche, a indiqué l'exécutif américain mercredi.

Le dirigeant démocrate de 81 ans «s'adressera à la nation» jeudi pour évoquer les résultats de l'élection et la période de transition, a précisé la Maison-Blanche.

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Le Parti socialiste, qui a convoqué mercredi soir un bureau national extraordinaire, a annoncé demander l'organisation «en urgence» d'une «réunion des leaders du parti socialiste européen» après l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. «Au regard des impacts» de l'élection américaine «sur la situation internationale, et en lien avec Pedro Sanchez», le premier ministre espagnol, «le Parti socialiste demande que soit organisée en urgence une réunion des leaders du Parti Socialiste Européen», qui rassemble 60 partis nationaux, dont 32 membres à part entière.

«L'Union européenne n'est pas le 51e État américain. Elle doit désormais prendre conscience de sa propre force et mesurer sa responsabilité sur la scène internationale dans un monde ébranlé par le réveil des empires, de l'obscurantisme religieux, du complotisme, du racisme, du climato-scepticisme et du national-populisme», écrit encore le PS dans un communiqué. Dans ce contexte, «la gauche européenne, et les socialistes en particulier, doivent y prendre toute leur part», ajoute encore le parti à la rose, plaidant pour «un sursaut, qui passe par l'affirmation d'un projet pour la France et pour l'Europe».

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Lors d’une conversation téléphonique ce mercredi soir, le président-élu Donald Trump et la démocrate vaincue Kamala Harris ont «convenu de la nécessité d'unifier le pays», selon un porte-parole du républicain.

«Le président Trump a remercié la vice-présidente Harris pour sa détermination, son professionnalisme et sa persévérance tout au long de la campagne, et les deux dirigeants ont convenu de la nécessité d'unifier le pays», a indiqué Steven Cheung dans un communiqué.

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Il y a quatre ans, la chaîne préférée des conservateurs américains Fox News avait frappé un grand coup en prédisant plusieurs jours avant ses concurrentes la victoire de Joe Biden en Arizona. Dans la nuit de mardi à mercredi, elle a encore devancé de plusieurs heures ses rivales en annonçant la victoire finale de Donald Trump.

Il était un peu moins de 02H00 du matin sur la côte est américaine (8h en France) quand la chaîne d'information, propriété du magnat des médias Rupert Murdoch, a assuré, en s'appuyant sur ses projections, que Donald Trump, 78 ans, deviendrait le «47e président des Etats-Unis», grâce à sa victoire dans les Etats du Wisconsin et de Pennsylvanie. Les autres grandes chaînes n'ont pu confirmer l'information, qui a secoué la planète, qu'après 11h heure française.

C'est une incontestable victoire pour Fox News, qui met en lumière ses deux visages: d'un côté, celui de chroniqueurs très politisés, aux avant-postes des batailles idéologiques des conservateurs américains, de l'autre une capacité à faire jeu égal, voire à s'imposer, sur la concurrence, CNN en tête, lors des grands rendez-vous d'information.

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Kamala Harris a appelé Donald Trump mercredi pour le féliciter de sa victoire à l'élection présidentielle, a indiqué un conseiller de la candidate démocrate.

La vice-présidente, qui avec cet appel reconnaît sa défaite, a évoqué avec le futur président l'importance d'une passation pacifique du pouvoir et d'être un président pour tous les Américains, a ajouté ce conseiller qui s'est exprimé sous couvert de l'anonymat.

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Le Secret Service, chargé de la protection du président américain et des candidats à ce poste, commenceront à protéger les membres de la famille de Donald Trump dans les prochains jours, a déclaré un responsable à nos confrères américains de CNN.

Donald Trump a subi une tentative d’assassinat à Butler, en Pennsylvanie, cet été, suivi d'une seconde tentative d’assassinat présumée en Floride, en septembre.

Le patron de Microsoft, Satya Nadella, a félicité Donald Trump dans une publication sur X. «Nous sommes impatients d’échanger avec vous et votre administration pour innover et contribuer à la croissance des États-Unis et du monde.»

L'ancien président François Hollande a mis en garde mercredi contre un Donald Trump «sans limite», estimant que la nouvelle victoire du Républicain à la présidence des États-Unis était «une mauvaise nouvelle pour l'Europe».

«Là, Donald Trump, c'est pas le même que celui d'un premier mandat», a estimé l'ancien président redevenu député, devant la presse à l'Assemblée nationale. «Non seulement, il va faire ce qu'il a dit, mais il va le faire sans limite, sans contrainte et sans préoccupation de ce qu'on appelait autrefois l'Occident ou le lien transatlantique».

De l'avis de l'ex-chef de l'Etat, ce que proclame Donald Trump dans une campagne, «avec outrance, il le fait avec excès quand il devient le président des États-Unis». «Là, il est évident qu'il fera ce qu'il a proclamé dans la campagne et que ça va être une période de tension avec l'Europe», poursuit-il. Concernant l'Ukraine, Donald Trump «a dit sur un mode de forfanterie, qu'il allait régler le problème en quelques jours. Nul doute qu'il abandonnera l'Ukraine à Vladimir Poutine (...) sauf si les Européens réagissent», déplore François Hollande.

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Le Venezuela, qui a rompu ses relations diplomatiques avec Washington en 2019 sous la première présidence de Donald Trump, s'est dit prêt mercredi à «établir de bonnes relations» avec les États Unis, après la nouvelle victoire du candidat républicain.

Le «Venezuela félicite le peuple des Etats-Unis (...) et le président élu Donald J. Trump (...) Le Venezuela sera toujours disposé à établir de bonnes relations avec les gouvernements des Etats-Unis, dans un esprit de dialogue, de respect et de bon sens», indique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

Donald Trump remporte aussi l’État du Michigan, un «swing state», d’après l’Associated Press. Situé dans le nord-est des États-Unis, l’État est constitué de 15 grands électeurs.

Avec sa victoire dans le Michigan, après celles en Pennsylvanie et dans le Wisconsin, Donald Trump remporte le grand chelem dans les trois Etats-clés du nord du pays qui étaient pourtant considérés, avant mardi soir, comme plutôt favorables à la candidate démocrate Kamala Harris, largement battue.

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Le premier ministre indien Narendra Modi a adressé mercredi ses «félicitations du fond du coeur» à son «ami» Donald Trump pour sa «victoire électorale historique» à la présidentielle américaine. «Je me réjouis de renouveler notre collaboration pour renforcer encore le (...) partenariat global et stratégique» entre l'Inde et les États-Unis, a déclaré Narendra Modi sur le réseau social X.

«Travaillons ensemble pour améliorer la condition de nos peuples et pour promouvoir la paix, la stabilité et la prospérité dans le monde», a ajouté le chef du gouvernement ultranationaliste hindou. Pendant son premier mandat à la Maison Blanche (2017-2021), le milliardaire américain et le Premier ministre indien, au pouvoir depuis 2014, ont entretenu des relations de confiance. Les deux dirigeants avaient fait publiquement assaut de compliments en 2019 lors d'une apparition conjointe à Houston (Texas) devant des dizaines de milliers d'Américains d'origine indienne.

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Emmanuel Macron et Donald Trump ont exprimé mercredi leur «volonté d'oeuvrer au retour de la paix et de la stabilité» face aux «grandes crises internationales en cours», lors de leur premier échange téléphonique après la victoire du candidat républicain à la Maison-Blanche, a fait savoir la présidence française.

Lors de ce «très bon échange de 25 minutes», le chef de l'Etat français «a souligné l'importance du rôle de l'Europe et a dit au président Trump qu'il était disposé à poursuivre cette conversation et à travailler ensemble sur ces dossiers», notamment l'Ukraine et le Proche-Orient, «quand il aura pris ses fonctions» fin janvier 2025, a ajouté l'Elysée.

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La victoire de Donald Trump «augmente les risques pour l'économie mondiale», a estimé mercredi le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, soulignant la nécessité d'une «remobilisation européenne».

«Je crois que le résultat de l'élection américaine augmente à la fois les risques pour l'économie mondiale et la nécessité d'une remobilisation européenne», a commenté le gouverneur lors d'une conférence à Lyon, évoquant «probablement plus de protectionnisme» et un déficit budgétaire américain plus élevé.

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Jeff Bezos, fondateur et président d'Amazon, a félicité Donald Trump mercredi pour son «retour politique extraordinaire et (sa) victoire décisive», lui souhaitant «tout le succès dans la direction et l'unification de l'Amérique que nous aimons tous».

«Toutes mes félicitations à notre 45e et désormais 47e président pour (son) retour politique extraordinaire et (sa) victoire décisive. Aucun pays n'a de plus grandes opportunités» a publié Jeff Bezos sur X. «Je souhaite (à Donald Trump) du succès pour mener et unir l’Amérique que nous aimons tous».

Cette réaction intervient une semaine après que Jeff Bezos, propriétaire du Washington Post, avait défendu le fait de ne pas soutenir officiellement la vice-présidente Kamala Harris, affirmant que cela aurait créé de la «partialité».

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Kamala Harris s'exprimera publiquement à 22h, heure française, après la victoire de Donald Trump ce matin. Elle devrait prendre la parole à l’université Howard, où l’équipe de la démocrate avait organisé sa soirée électorale.

Il s'agit de la première allocution de Kamala Harris depuis l'annonce dans la nuit de mardi à mercredi de sa défaite sans appel face au républicain dans la course à la Maison-Blanche.

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D'abord soulagées par la levée de l'incertitude autour de l'élection présidentielle américaine avec la victoire claire de Donald Trump ce mercredi, les Bourses européennes ont finalement clôturé en baisse, les investisseurs évaluant les projets de barrières douanières qui pourraient peser sur les entreprises du Vieux continent.

Francfort (-1,13%), Milan (-1,54%) et Londres (-0,07%) ont terminé dans le rouge après un retournement complet de la tendance. Le CAC 40 de Paris avait même brièvement bondi de plus de 2% en début de séance avant de finir en baisse de 0,51%.

Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et le président élu américain Donald Trump ont discuté mercredi de la «menace iranienne» sur la sécurité d'Israël lors d'un échange téléphonique, a annoncé le bureau de Benyamin Netanyahou.

«La conversation a été amicale et cordiale. Le premier ministre a félicité Donald Trump pour sa victoire électorale et les deux [dirigeants] ont convenu de coopérer pour la sécurité d'Israël. Ils ont aussi discuté de la menace iranienne», qui soutient le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais en guerre contre Israël, a-t-on précisé de même source.

« Le changement climatique ne se soucie pas vraiment de savoir qui est à la tête des États-Unis ». « Donald Trump ou pas, les pays continueront à avancer ». Ces dernières semaines, experts et négociateurs ont martelé que les négociations mondiales sur le climat se poursuivraient avec autant d'ardeur quel que soit le résultat de la présidentielle américaine. Mais à moins d'une semaine de la COP29 qui démarre lundi à Bakou, en Azerbaïdjan, le retour du républicain à la tête du deuxième plus gros émetteur de gaz à effet de serre de la planète n'est clairement pas un bon signal.

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Les actions des groupes spécialisés dans les énergies renouvelables ont dégringolé ce mercredi à l'ouverture de la Bourse de New York, plombées par la victoire de Donald Trump, alors que les majors pétrolières ont bondi. Le candidat républicain, favorable aux énergies fossiles, a promis durant sa campagne de «forer à tout va» et remis ouvertement en doute la réalité du changement climatique, à rebours de la politique de transition énergétique engagée par son prédécesseur Joe Biden.

Vers 16h05 GMT (15h05 heure française), le géant de l'énergie solaire et de l'éolien NextEra Energy lâchait 6,14%. Le premier fabricant américain de panneaux solaires First Solar abandonnait 13,02%, tandis que le spécialiste des logiciels de gestion de panneaux solaires Nextracker reculait de 8,46%. La compagnie d'équipements d'énergie solaire Sunnova s'effondrait (-42,56%). La société Brookfield Renewable Partners, spécialisée dans les énergies renouvelables, perdait pour sa part 7,83%.

Dans le même temps, et comme attendu, la victoire du candidat républicain a fait bondir les valeurs pétrolières: Chevron (+3,04%), ConocoPhilips (+4,50%), ExxonMobil (+1,90%) et EOG Resources (+4,54%) gagnaient tous du terrain. «Toute avancée gouvernementale de l'industrie verte» va faire «plusieurs pas en arrière» avec la victoire de Donald Trump, a estimé Robert Yawger, de Mizuho USA.

Une analyse du média spécialisé Carbon Brief en mars estimait qu'une victoire de Donald Trump pourrait entraîner l'émission supplémentaire, d'ici à 2030, de 4 milliards de tonnes d'équivalent CO2 par rapport à un gouvernement démocrate. Cela représente les émissions annuelles de l'Europe et du Japon.

Quelques phrases d'une sobriété confondante. Marine Le Pen a pris son temps, ce mercredi, pour réagir au retour annoncé de Donald Trump à la Maison-Blanche. Point de lyrisme ni de cri de victoire à l'accent national-populiste, mais un simple message publié sur le réseau social X. «J'adresse mes vœux de succès à Donald Trump pour sa nouvelle présidence à la tête des États-Unis, s'est contentée d'écrire la figure de proue du Rassemblement national (RN). La démocratie américaine s'est clairement exprimée et les Américains se sont donné en toute liberté le président qu'ils ont choisi. Cette nouvelle ère politique qui s'ouvre doit contribuer au renforcement des relations bilatérales et à la poursuite d'un dialogue et d'une coopération constructive sur la scène internationale».

Un propos on ne peut plus diplomatique, qui vient clore une séquence durant laquelle Marine Le Pen est volontairement restée silencieuse, contrairement à 2016 et 2020, où elle avait publiquement soutenu le milliardaire républicain.

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Après sa victoire face à Kamala Harris, il peut sans aucun doute se targuer d'être le président des États-Unis le plus riche de l'histoire. Dans son best-seller L'art de la négociation, sorti en 1987, Donald Trump affirmait : «l'argent n'a jamais été une grande motivation pour moi, sauf pour compter les points. Ce qui est passionnant, c'est de jouer le jeu». Un discours qui résonne particulièrement aujourd'hui. Pourtant, au fil de ses années de businessman puis d'homme politique, le New-Yorkais n'a jamais cessé d'élargir son empire financier.

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Selon NBC News, Kamala Harris devrait téléphoner à Donald Trump dans quelques heures pour lui signifier sa défaite, puis s’exprimer publiquement. Selon un collaborateur de la candidate démocrate contacté par nos confrères américains, Kamala Harris serait actuellement en train de travailler sur son discours.

Joe Biden prévoirait également d'appeler Donald Trump, selon un responsable de la Maison-Blanche.

Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a félicité ce mercredi Donald Trump pour sa victoire à la présidentielle américaine, insistant sur l'importance de la «coopération» entre les États-Unis et les Nations unies.

«Les Nations unies sont prêtes à travailler de façon constructive avec la prochaine administration pour faire face aux défis dramatiques de notre monde», a déclaré le chef de l'ONU dans un communiqué, alors que les relations avaient été compliquées lors du premier mandat du républicain à la Maison-Blanche.

L’action du groupe de médias de Donald Trump s'est envolée ce mercredi de plus de 25% à l'ouverture de la Bourse de New York, à la faveur de la victoire du candidat républicain lors du scrutin présidentiel américain.

Le titre a gagné jusqu'à près de 35%, avant de ralentir. Vers 14h50 GMT (15h50 heure française), il prenait 16,44%.

Sur X, réseau social qu’il dirige, le multi-entrepreneur Elon Musk n’a pas manqué ce mercredi de partager un photomontage le représentant, sourire aux lèvres, dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche, alors que le candidat républicain Donald Trump, qu’il a largement soutenu, vient d’être élu président des États-Unis.

En légende, le milliardaire écrit : «Qu’on se le dise.» Un message clair sur sa volonté de rejoindre Donald Trump sur le devant de la scène politique. Une idée déjà sous-entendue par le nouveau locataire de la Maison-Blanche lors de son discours ce mercredi en Floride : «Il est formidable, on a fait campagne ensemble. C'est un personnage, il est spécial, c'est un génie, on doit protéger nos génies, on n'en a pas tellement, je les remercie.»

Ce mercredi matin, des militants écologistes britanniques de l’organisation «Just Stop Oil» ont tagué l’entrée de l’ambassade des États-Unis à Londres. «Ce matin, le monde se réveille et découvre qu'il s'enfonce encore davantage dans le fascisme et dans la dégradation climatique. La victoire de Trump met en danger la vie des gens ordinaires, partout dans le monde», ont-ils écrit sur X. Avant d’ajouter : «Tant que la démocratie sera détournée par les intérêts des entreprises et des milliardaires, elle ne parviendra pas à apporter le changement que les citoyens réclament. Cela laissera toujours la porte ouverte aux faux populistes comme Trump pour exploiter le mécontentement ressenti.»

Le chef du Hezbollah libanais a affirmé ce mercredi que son mouvement ne misait pas sur le résultat des élections américaines pour parvenir à un cessez-le-feu, après plus d'un mois de guerre ouverte avec Israël, allié des États-Unis.

«Nous ne misons pas sur les élections américaines. Que Harris ou Trump gagne, cela n'a aucune valeur pour nous», a déclaré Naïm Qassem, lors d'une allocution enregistrée avant l'annonce de la victoire du républicain Donald Trump.

Liz Cheney, la plus célèbre opposante républicaine à Donald Trump, s’est exprimée ce mercredi sur X, après la victoire du président élu pour un second mandat. «Le système démocratique de notre pays a fonctionné hier soir et nous avons un nouveau président élu. Tous les Américains sont tenus, que le résultat nous plaise ou non, d'accepter les résultats de nos élections», a-t-elle d’abord indiqué.

Avant de poursuivre, sans évoquer à un seul moment Donald Trump : «Nous avons maintenant la responsabilité, en tant que citoyens de la plus grande nation du monde, de faire tout ce que nous pouvons pour soutenir et défendre notre Constitution, préserver l'État de droit et garantir que nos institutions résistent au cours des quatre prochaines années. Les citoyens de tout ce pays, nos tribunaux, les membres de la presse et ceux qui servent dans nos gouvernements fédéraux, étatiques et locaux doivent maintenant être les garde-fous de la démocratie.»

Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a adressé ses félicitations ce mercredi à Donald Trump pour son élection à la présidence des États-Unis. «Mes félicitations au président Donald Trump pour sa victoire électorale et son retour à la présidence des États-Unis», a écrit Lula sur X. «La démocratie est la voix du peuple et doit toujours être respectée», a-t-il ajouté. «Le monde a besoin de dialogue et de travail commun pour que nous ayons plus de paix, de développement et de prospérité», a dit le dirigeant de gauche, qui a également souhaité «chance et succès» au républicain Trump pour son prochain gouvernement.

Le président brésilien avait estimé qu'il «serait bien d'avoir» la candidate démocrate «Kamala Harris au pouvoir» pour «le renforcement de la démocratie», dans une interview vendredi à la chaîne française LCI.

De son côté, l'ex-président brésilien d'extrême droite Jair Bolsonaro (2019-2022), un allié de Donald Trump, a salué sur X le triomphe de son «ami», le décrivant comme la «renaissance d'un vrai guerrier». «Félicitations, mon ami, pour cette victoire épique qui marque non seulement ton retour à la Maison-Blanche, mais aussi le triomphe de la volonté du peuple sur les desseins arrogants de quelques-uns qui méprisent nos valeurs, nos croyances et nos traditions», a écrit Jair Bolsonaro.

Une crise «mortifère pour l'Europe» en cas de victoire de Donald Trump : tel est le sombre scénario qui alarmait dimanche Thierry Breton, ancien commissaire européen au marché intérieur, sur le plateau de BFMTV. Crainte par les Européens, cette piste est devenue réalité ce mercredi, charriant avec elle son lot d'incertitudes, en particulier dans le champ économique. De nombreux acteurs, en effet, s'inquiètent des conséquences de la politique défendue jusqu'ici par le milliardaire républicain pour les économies française, d'une part, et européenne, d'autre part.

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Le gouvernement taliban en Afghanistan a dit ce mercredi espérer «un nouveau chapitre» avec la réélection de Donald Trump qui avait signé un accord de paix avec les talibans durant son premier mandat de président des États-Unis.

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Abdul Qahar Balkhi a dit sur X espérer «des progrès tangibles dans les relations» et que Kaboul et Washington «pourront ouvrir un nouveau chapitre».

Si les Américains votaient principalement pour élire le prochain président des États-Unis, ils s'exprimaient également dans le cadre d'autres élections nationales et locales. Notamment pour nommer les membres de la Chambre des représentants, ainsi que ceux du Sénat. Les citoyens ont également élu de nouveaux gouverneurs dans 11 États et près de 100 référendums se sont tenus dans 41 États différents.

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Le premier ministre canadien, Justin Trudeau, a félicité à son tour Donald Trump, élu plus tôt dans la journée président des États-Unis, et a dit souhaiter «travailler» avec lui sur l'économie et la sécurité.

«L'amitié entre le Canada et les États-Unis fait envie au monde entier. Je sais que le président Trump et moi-même travaillerons ensemble pour plus d'opportunités, de prospérité, et de sécurité pour nos deux nations», a écrit Justin Trudeau dans une publication sur le réseau social X, accompagnée d'une photo où il discute avec Donald Trump.

Le premier ministre d'Irak, Mohamed Chia al-Soudani, a félicité ce mercredi Donald Trump, élu à la tête des États-Unis, se disant prêt à «consolider les relations bilatérales» avec Washington «sur la base du respect mutuel et des intérêts communs».

«Nous espérons que cette nouvelle phase sera le début d'une coopération plus profonde entre nos deux pays dans de multiples domaines», a souligné sur X le premier ministre Soudani, dont le pays est un grand allié de l'Iran tout en maintenant un partenariat stratégique avec les États-Unis.

Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a félicité Donald Trump pour sa victoire à l'élection présidentielle américaine, se disant ce mercredi «convaincu que les États-Unis soutiendront les aspirations légitimes» des Palestiniens.

Mahmoud Abbas «a exprimé son aspiration à travailler avec le président Trump pour la paix et la sécurité dans la région, soulignant l'engagement du peuple palestinien en faveur de la liberté, de l'autodétermination et de la souveraineté de l'État, conformément au droit international», a indiqué dans un communiqué la présidence palestinienne.

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Le président taïwanais Lai Ching-te a adressé ce mercredi ses «sincères félicitations» à Donald Trump pour sa victoire aux élections aux États-Unis, se disant convaincu que les liens entre les deux pays resteraient une «pierre angulaire pour la stabilité régionale».

«Sincères félicitations au président élu», a déclaré sur X Lai Ching-te, qui défend la souveraineté de l'île face à la Chine. «Le partenariat de longue date entre Taïwan et les États-Unis, construit sur des valeurs et des intérêts communs, continuera à servir de pierre angulaire pour la stabilité régionale et conduira à une plus grande prospérité pour nous tous», a-t-il ajouté.

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Le chancelier allemand Olaf Scholz a lancé ce mercredi un appel à une poursuite de la coopération entre l'Allemagne et les États-Unis en direction du président américain élu, Donald Trump, déclarant que les deux pays étaient «plus forts ensemble». «Nous pouvons faire beaucoup plus que l'un contre l'autre», a-t-il ajouté.

«L'Allemagne et les États-Unis sont liés par un partenariat d'amitié qui s'est développé au fil des décennies. Nos relations avec les États-Unis sont plus étroites qu'avec tout autre pays en dehors de l'Europe. Des millions de citoyens américains ont des racines allemandes», a énuméré le chancelier.

Les relations germano-américaines s'étaient dégradées sous la présidence de Donald Trump (2017-2021) qui avait lancé plusieurs mesures protectionnistes visant notamment les importations européennes ou encore chinoises. Le républicain a déjà prévenu qu'il augmenterait les droits de douane de 20% sur tous les produits importés, une menace qui inquiète les entreprises allemandes fortement exportatrices. Olaf Scholz a rappelé que les États-Unis et l'Europe étaient liés par «un partenariat transatlantique» qui «profite aux deux parties».

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Le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que Moscou ne se faisait pas d'illusions sur Donald Trump, après son élection à la présidence des États-Unis, et qu'il travaillerait avec la nouvelle Administration américaine pour défendre fermement les intérêts nationaux russes.

Le ministère a par ailleurs déclaré dans un communiqué de presse que Moscou poursuivra ses «objectifs» en Ukraine après la victoire de Trump et que sa position sur le conflit restait inchangée.

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Le roi Salman et son fils, le prince héritier et dirigeant de facto de l'Arabie saoudite, Mohammed Ben Salman, ont félicité mercredi Donald Trump pour «sa victoire à l'élection présidentielle» américaine, a rapporté l'agence de presse officielle saoudienne SPA.

Les dirigeants saoudiens ont envoyé des messages de félicitations à Donald Trump, qui a entretenu des relations chaleureuses avec la puissante monarchie du Golfe durant son premier mandat. Le roi Salman a salué les «relations étroites entre les deux pays et peuples amis», selon la même source.

Le premier ministre français a mis en garde ce mercredi les Européens contre le «chacun pour soi» après la victoire de Donald Trump à la présidence des États-Unis, plaidant pour une «stratégie européenne coordonnée», a rapporté la porte-parole du gouvernement.

«La tentation ne [doit] pas être au chacun pour soi ni aux relations bilatérales, mais bien à une stratégie européenne coordonnée», a affirmé le chef du gouvernement lors du Conseil des ministres, selon Maud Bregeon, dans son compte rendu à la presse.

Le Hamas a affirmé qu'il jugera le nouveau président américain Donald Trump en fonction de sa politique à l'égard des Palestiniens.

«Notre position vis-à-vis de la nouvelle Administration américaine dépendra de ses positions et de son comportement dans la pratique envers le peuple palestinien, ses droits légitimes et sa juste cause», a dit le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué.

La première mesure est claire : «La première chose que je ferai si je suis élu, c'est mettre hors d'état de nuire tous [les] gangs et je prendrai des mesures pour dédommager les victimes de ces gangs», avait-il annoncé fin octobre.

Le président élu, qui a fait de la sécurité une priorité de sa campagne, veut également serrer la vis migratoire en lançant : «La plus grande expulsion de clandestins de l'histoire des États-Unis». Il veut s'appuyer sur «des technologies de pointe pour surveiller et sécuriser la frontière», augmenter les crédits de l'agence en charge des frontières et «terminer le mur», une frontière qui sépare le Mexique et les États-Unis. Une mesure phare de son premier mandat.

Économiquement, Donald Trump veut poursuivre la dérégulation de l'économie afin de renforcer sa compétitivité. Il plaide pour une réduction de l'impôt sur les sociétés de 35% à 20% ou 10%, la détaxation des pourboires, ainsi que de larges crédits d'impôts aux industriels. Les industriels qui veulent travailler pour le gouvernement fédéral devront également s'engager à ne pas délocaliser certains de leurs emplois.

Il compte également imposer des droits de douane importants : 10% pour toutes les importations et jusqu'à 60% pour celles venant de Chine. Mais l'Union européenne, à ses yeux, est aussi «une mini-Chine» qui «ne prend pas [nos] voitures, ne prend pas [nos] produits agricoles».

Lire notre article | Victoire de Donald Trump : quelles seront ses premières mesures ?

Le premier ministre japonais Shigeru Ishiba a félicité mercredi Donald Trump, élu président des États-Unis selon les médias américains, et exprimé son souhait de porter l'alliance entre les deux pays «à de nouveaux sommets».

«J'espère travailler en étroite collaboration avec Monsieur Trump pour porter l'alliance et les relations nippo-américaines à de nouveaux sommets», a-t-il déclaré à la presse, en félicitant le candidat républicain et en rendant «hommage au choix démocratique» du peuple américain.

Le républicain gagne cet État-clé et franchit le seuil de 270 grands électeurs.

L'ancien président de 78 ans a réussi son pari de revenir à la Maison-Blanche à l'issue d'une campagne excessivement mouvementée, particulièrement agressive et indécise jusqu'à la dernière minute.

Le candidat républicain n'a jamais été aussi proche d'un second mandat à la Maison-Blanche. Si Donald Trump venait à gagner, il le devrait à plusieurs électorats, qui ont plus voté pour lui qu'en 2020, année de sa défaite face à Joe Biden.

Le premier grand enjeu était celui du vote des femmes. Un premier sondage sorti des urnes, réalisé par l'institut Edison Research, indique que Donald Trump a séduit 44% des femmes à l'échelle nationale, contre 54% pour Kamala Harris. Il augmente ainsi son total de deux points par rapport à 2020.

Autre gain significatif pour Donald Trump : le vote hispanique. En remportant 45% des voix des Latinos, selon le sondage d'Edison, le milliardaire a augmenté son total de 13 points par rapport à 2020. Il se place même en tête chez les électeurs hispaniques masculins (54%), en hausse de 18 points. Si Kamala Harris conserve assez largement la tête chez les électrices (61%), Donald Trump est là aussi en progression de sept points.

L'enjeu de l'électorat noir devait également peser sur le scrutin. Donald Trump n'a pas amélioré son score (12%) non plus à l'échelle nationale, mais il a surperformé dans certains États-clés.

Lire notre article | Vote hispanique et noir, femmes, jeunes, catholiques : ces électorats qui ont fait gagner Donald Trump

Yoon Suk Yeol a félicité mercredi Donald Trump, qui a revendiqué mercredi la victoire à l’élection américaine, en disant espérer travailler plus étroitement avec les États-Unis à l'avenir.

«Sous votre fort leadership, l'avenir de l'alliance entre la Corée du Sud et les États-Unis d'Amérique sera meilleur. J'ai hâte de travailler étroitement avec vous», a réagi le chef d'État sur le réseau social X.

Le roi Abdallah II a félicité mercredi Donald Trump, qui a revendiqué sa victoire à la présidentielle américaine. Le républicain est effectivement donné en tête du scrutin. Il ne lui reste plus que trois grands électeurs avant de gagner officiellement l'élection.

«Je me réjouis de travailler à nouveau avec vous pour renforcer le partenariat de longue date entre la Jordanie et les États-Unis, au service de la paix et de la stabilité régionales et mondiales pour tous», a écrit le souverain jordanien sur X.

Le Kremlin a indiqué que le président russe Vladimir Poutine ne prévoyait pas de féliciter Donald Trump, qui a revendiqué sa victoire à l’élection américaine, précisant que le républicain serait jugé sur ses «actes».

«Je ne sais rien d'un projet du président [russe] de féliciter Trump pour l'élection. N'oublions pas que nous parlons d'un pays hostile qui est directement et indirectement impliqué dans une guerre contre notre État», a dit le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Abdel Fattah al-Sissi, a félicité Donald Trump qui a revendiqué mercredi sa victoire dans la course à la Maison-Blanche, espérant la paix et la stabilité au Moyen-Orient. Le républicain est effectivement donné en tête du scrutin. Il ne lui reste plus que trois grands électeurs avant de gagner officiellement l'élection.

«Je lui souhaite beaucoup de succès [...] et j'ai hâte de parvenir ensemble à la paix, à la stabilité régionale et au renforcement du partenariat stratégique entre l'Égypte et les États-Unis et leurs peuples amis», a déclaré le président Sissi sur son compte officiel X.

L'action de Tesla, propriété d'Elon Musk, grimpe de près de 13% dans les échanges d'avant-séance à Wall Street mercredi, porté par le soutien affiché par le milliardaire à Donald Trump, dont la victoire à l'élection présidentielle américaine se dessine.

Vers 9h10 GMT, le titre du constructeur automobile prenait 12,93% à 283,97 dollars dans les contrats à terme sur l'indice Nasdaq, qui donnent une indication des tendances avant le début de la séance.

Pedro Sánchez a félicité mercredi Donald Trump qui a revendiqué la victoire à la présidentielle américaine, promettant de travailler à «un partenariat transatlantique fort». Le républicain est effectivement donné en tête du scrutin. Il ne lui reste plus que trois grands électeurs avant de gagner officiellement l'élection.

«Félicitations pour votre victoire et votre élection comme 47e président des États-Unis. Nous travaillerons sur nos relations stratégiques bilatérales et pour un partenariat transatlantique fort», a écrit sur le réseau social le chef de gouvernement socialiste.

L'émir du Qatar, dont le pays est médiateur dans la guerre dans la bande de Gaza et accueille la plus grande base américaine au Moyen-Orient, a félicité Donald Trump, qui a revendiqué mercredi sa victoire dans la course à la Maison-Blanche.

Le républicain est effectivement donné en tête du scrutin. Il ne lui reste plus que trois grands électeurs avant de gagner officiellement l'élection.

«Nous nous réjouissons de travailler à nouveau ensemble [...] pour faire progresser nos efforts communs en faveur de la sécurité et de la stabilité, tant dans la région qu'au niveau mondial», a écrit cheikh Tamim ben Hamad al-Thani, sur X.

La ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock a appelé les Européens mercredi à prendre davantage de responsabilités en matière de sécurité après la victoire revendiquée par Donald Trump à l’élection américaine.

«Il est clair que nous, Européens, allons devoir assumer encore plus de responsabilités en matière de politique de sécurité, aujourd'hui, demain, après-demain, pour nous, pour nos enfants», a-t-elle déclaré devant la presse.

Isaac Herzog a félicité mercredi Donald Trump, qui a revendiqué la victoire à l'élection présidentielle américaine, souhaitant «renforcer le lien à toute épreuve» entre Israël et les États-Unis.

«J'attends avec impatience de travailler avec vous pour renforcer le lien à toute épreuve entre nos peuples, pour construire un avenir de paix et de sécurité dans la région et pour défendre nos valeurs partagées», a-t-il écrit sur X.

Le président turc a félicité mercredi son «ami» Donald Trump qui a revendiqué la victoire à l’élection américaine. Le républicain est effectivement donné en tête du scrutin. Il ne lui reste plus que trois grands électeurs avant de gagner officiellement l'élection.

«Nous espérons que les relations entre la Turquie et les États-Unis se renforceront et que les crises et les guerres régionales et mondiales, en particulier la question palestinienne et la guerre entre la Russie et l'Ukraine, prendront fin», a écrit Recep Tayyip Erdogan sur X.

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