L'Amour est dans le pré de retour sur M6 : voici les 12 candidats (et ...

C’est le retour de l’une des émissions cultes. Vous aviez déjà eu un avant-goût de la nouvelle saison de L’Amour est dans le pré avec la diffusion des portraits en janvier 2024, mais cette fois c’est le vrai retour de Karine Lemarchand qui suivra 12 candidats cette année, deux femmes et dix hommes.

Oui, douze alors qu’en janvier vous aviez fait connaissance avec 15 candidats en quête d’un ou une prétendant(e). En effet, trois candidats ont abandonné l’aventure.

Vous pourrez suivre cette 19e saison, de L’Amour est dans le pré à partir de ce lundi 19 août à 21 h 10. Pour le reste, les épisodes seront diffusés chaque lundi, à ce même horaire.

Avant de replonger dans votre émission préférée, on vous propose de redécouvrir les candidats de cette 19e saison.

Trois abandons, un classique ?

Vous les aviez découverts lors des portraits : Cyril, Guy et Damien ne prendront finalement pas part à l’aventure.

Lors d’une conférence de presse, Karine Lemarchand a expliqué les raisons de ces non-participations. Des propos rapportés par nos confrères de Télé-Loisirs.

Ce sont trois raisons différentes. Il y en a qui n'étaient pas prêts, il y en a où on a appris des choses qu'ils ne nous avaient pas dites. Ce sont plutôt des choses comme ça.

Karine Lemarchand

Si la production reste très discrète et ne nomme jamais les personnes concernées, Gabrielle Mather, la productrice de L’amour est dans le pré évoque, auprès du Parisien, un candidat pas vraiment célibataire.

« Cette année encore, on a senti qu’une ex revenait, on a été très très vigilant […] Nous avons décidé d’arrêter avec cette personne, car en réalité, il n’était pas vraiment célibataire, ce qui est quand même une des conditions principales à la participation. »

Contactée, la production n’a pas répondu à actu.fr.

Brice, 38 ans, saunier en Nouvelle-Aquitaine

Ancien professeur de tennis et surfeur, Brice s’est reconverti pour devenir saunier. Un métier qui donne plus de sens à sa vie. Il s’occupe de 20 espaces de production dans un marais salant. Et, « attaché aux valeurs d’antan », il travaille à la main.

Malgré sa pratique du tennis, du surf et de « son humour et son dynamisme », l’on pourrait croire que Brice cumule les relations. C’est tout l’inverse selon la production.

Grand timide et nul en drague, Brice n’a jamais connu de relation sérieuse. Sa dernière amourette remonte à il y a deux ans. Depuis, c’est le point mort. Tétanisé par sa peur d’aborder les femmes, Brice rougit à la moindre occasion, préférant se cacher derrière son humour pour masquer son malaise.

M6

Avec ADP, il espère « surmonter ses inhibitions, pour enfin toucher du doigt une vraie relation ». Le saunier recherche une femme dans la trentaine, sportive, un peu aventurière et surtout qui souhaite fonder une famille. « L’unique pensée, du lever au coucher » de Brice.

Gilles, dit « Gillou », 69 ans ex-éleveur à la retraite dans les Pays-de-la-Loire

Retraité depuis quatre ans, « Gillou » n’aime pas être inactif.

Il passe son temps entre le soin d’une portion réduite de son troupeau et « une myriade d’autres activités le reste du temps ». Il adore tout particulièrement jouer au Trut, jeu de cartes local, ou enflammer les pistes de danse de la région.

Joyeux, espiègle et doté d’un sacré bagout en bref. « Un personnage fleuri » pour M6.

Son premier amour l'a rendu papa à trois reprises. Son deuxième a résulté de 15 années d'un mariage amoureux et heureux. Mais Gilles est veuf depuis 19 mois maintenant. Il cherche la dernière femme de sa vie. 

M6

« Épanoui et plein d’énergie, Gilles espère grâce à l’émission vibrer à nouveau, voyager et partager comme un jeune couple » note M6. La production assure qu’il ne faut pas s’inquiéter « en cas de panne mécanique », car « notre célibataire de 69 ans a tout ce qu’il faut pour se shooter ».

Bruno, 33 ans, éleveur et adepte de la polyculture dans les Hauts-de-France

Bruno est un « beau gaillard d’1m 93 », très famille. Après le décès de sa mère d’un cancer, il a du redoubler d’efforts pour épauler son père.

À 33 ans, Bruno travaille désormais dans une exploitation familiale en tant qu’agriculteur. Il s’apprête à reprendre seul l’affaire lancée par son arrière-grand-père. Passionné de mécanique, il travaille également dans une concession.

En apparence, Bruno cache une facette plus réservée quand il s’agit de la gent féminine. Pas dragueur pour un sou, il ne compte “que” trois relations dont la plus longue a duré huit mois.

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Après trois ans sans rencontre sérieuse, Bruno veut « se forcer à faire de nouvelles rencontres ». Indépendant, libéré d’une partie de ses activités, il va désormais s’atteler à rénover la ferme familiale selon ses goûts et ceux de sa future compagne.

Mickaël, 55 ans, éleveur de vaches laitières et adepte de la polyculture en Bretagne

À 55 ans, Mickaël est associé à son frère et responsable, entre autres, de la naissance de plus de 200 veaux par an. « Mais ce qui devrait faire chavirer les cœurs », selon M6, c’est « son style british, son mètre 93 et son petit côté dandy breton ».

Papa de deux enfants, ce sont justement ses rejetons qui l’ont inscrit à l’émission.

Homme droit, touchant et intelligent, Mickaël a longtemps mis sa vie amoureuse de côté au profit de ses deux merveilles. La raison : la mort brutale de leur mère il y a une vingtaine d’années.

M6

Veuf de deux enfants en bas âge, Mickaël a alors pris ses responsabilités pour leuroffrir une vie à la hauteur de son amour. « Maintenant que les oiseaux ont quitté le nid, le moment est venu de regarder vers l’avenir », écrit M6.

« Romantique, coquet et beaucoup plus drôle que ne l’inspire son style BCBG », Mickaël cherche une femme de 45 -55 ans.

Elle devra être pétillante, délicate, indépendante, mais surtout avoir du caractère. Il cherche à « tout partager avec elle », mais aussi à « se baigner dans les eaux fraîches de la Bretagne ».

Karell, 41 ans, éleveuse de vaches allaitantes et de volaille en bio en Bourgogne-Franche-Comté

Solaire et courageuse, Karell s’est lancée dans sa petite entreprise à 30 ans. Toute seule.

« Douze ans et cinq bâtiments agricoles plus tard, elle dirige aujourd’hui une ferme florissante comprenant une quarantaine de vaches allaitantes, neuf chevaux, une vingtaine de chats, deux adorables chiens mais surtout 5 000 volailles. »

Passionnée par « le bien-être animal », elle pratique une agriculture engagée et sa production, bio, est vendue « exclusivement en circuit court ».

Mère très proche de ses deux adolescents de 14 et 16 ans dont le plus grand l’aide à la ferme, Karell s’est séparée du papa au moment du lancement de sa nouvelle activité. Depuis, elle a eu quelques relations et amourettes, mais le terrain de l’amour est principalement resté en jachère.

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Son idéal masculin : de la tendresse, une épaule sur laquelle s’appuyer et surtout, un homme prêt à s’engager. « J’ai juste envie qu’on prenne soin de moi comme je prends soin des autres. »

Ludovic, 28 ans, viticulteur en Occitanie

Comme ses ancêtres depuis cinq générations, Ludovic est à la tête de sa propre exploitation viticole. Seul, il cultive les 24 hectares de son terrain.

Proche de sa mère et de sa sœur, « ses deux confidentes favorites », il a regardé avec elles énormément de comédies romantiques. Mais dans le vrai monde, ce n’est pas pareil et n’a connu qu’une seule relation sérieuse.

Malgré son côté bon vivant, ce danseur autodidacte qui se déhanche à la moindre occasion sur du flamenco, du rock ou Dirty Dancing, n’a pas encore rencontré sa Jennifer Grey (Bébé, dans le film, NDLR).

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Ludovic mise donc beaucoup sur l’émission pour trouver l’amour. Il cherche une femme de 25 à 34 ans, ouverte sur le monde, et prête à fonder une famille dans son Occitanie.

M6 précise qu’il « n’a rien du bad boy qui plaît aux femmes de son âge. Mais si vous aimez bouger, danser, rire au bras d’un jeune homme gentil, sportif et attentionné, alors Ludovic est fait pour vous. »

Manuela, 50 ans, éleveuse de poules d’ornement dans le Centre-Val-de-Loire

Notaire de formation, et ancienne directrice d’une école de notariat, Manuela est devenue « maître cocotte », il y a quatre ans.

Elle dirige un monde merveilleux fait de plumes, de becs et de cocoricos, où cohabitent près de 25 espèces rares de poules de luxe, toutes plus étonnantes les unes que les autres.

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Son nouveau quotidien à 50 ans : prendre soin de ses 300 pensionnaires, construire des poulaillers dans les écoles et les Ehpads, et donner des conférences sur les gallinacés. « Et elle adore ça. »

Sur le plan personnel, elle se qualifie « d’indraguable », mais cherche quand même à retrouver l’amour. Ses critères : un homme gentil, souriant, aimant, bienveillant, capable de mettre des bottes pour l’aider comme d’aller se promener ou dîner au restaurant avec elle. Surtout, elle veut que ses prétendants aient entre 48 et 58 ans.

Renaud, 52 ans, éleveur de volailles, de vaches allaitantes et moutons dans les Pays-de-la-Loire

Il est l’un des plus proches amis de « Gillou » avec qui il forme le premier binôme d’amis sur une même saison. Pour autant, côté tempérament, tout oppose les deux compères.

Il s’occupe quotidiennement de 25 vaches charolaises, des brebis et d’une importante production de 16 000 volailles qui le suivent partout.

Sur le plan personnel, il est papa de trois grandes filles, Renaud a vécu deux relations : une de 20 et une de 3 ans.

Renaud est d'une sensibilité et d'une douceur sans égal. (...) Timide “mais pas pour tout”, Renaud se décrit comme un homme "sympathique, patient, souriant émotif et détestant la solitude".

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Autonome “sauf pour les papiers”, Renaud a pour atout son humour, sa joie de vivre, et de sacrés talents de danseur.

Le quinquagénaire recherche « une femme douce, gentille, honnête, pétillante et qui aime s’amuser ».

Stéphane, 45 ans, éleveur de vaches allaitantes dans le Grand Est

Dernier d’une grande fratrie de six enfants, Stéphane a récupéré l’exploitation familiale il y a 20 ans, mais en conservant une autre activité à côté. Tantôt pâtissier, tantôt animateur commercial, Stéphane est « d’un naturel travailleur, sociable et « très pipelet ». 

Une maladie de Lyme mal diagnostiquée lui a fait perdre 4 années de sa vie. Aujourd’hui traité, Stéphane va beaucoup mieux mais n’a hélas pu que constater les dégâts laissés sur sa vie professionnelle et personnelle. Le plus grand de tous : la séparation avec la mère de sa fille de 10 ans, Orianne.

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« Bourré de charme », et soutenu par tout son village, maire compris, Stéphane cherche une femme « douce entre 38 et 47 ans ». « Celle qui viendra, elle n’en pourra plus tellement elle sera heureuse », promet-il.

Pascal, 58 ans, éleveur d’ovins et de vaches allaitantes en Nouvelle Aquitaine

Tombé « dans la marmite de l’agriculture » quand il était tout petit, Pascal est parti de rien et a monté son affaire tout seul ? Il l’a fait grandir 34 ans durant. À quatre ans de la retraite, Pascal, surnommé « bobosse », s’apprête à passer la main. En vue de cette échéance, Il recherche « une femme pleine de joie de vivre, gentille, souriante, entre 50 et 60 ans, qui voudrait l’aider à rattraper le temps perdu ».

Simple, souriant, mais aussi authentique et très taquin, Pascal est un grand timide qui cache son jeu et ses blessures derrière un humour décapant. Celle de n’avoir eu qu’une seule relation de toute sa vie, achevée en 2014. Celle ensuite d’un combat contre l’alcoolisme qui l’a un temps fait passer près du pire.

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Sobre depuis cinq ans, c’est maintenant lui qui aide ceux dans sa situation à s’en sortir. Et il n’a pas peur de le dire : Pascal cherche « la femme de sa vie ».

Valentin, 26 ans, éleveur de vaches laitières pratiquant aussi la polyculture en Normandie

À seulement 26 ans, Valentin, grand fan de Michel Sardou, est déjà chef de son exploitation et d’un troupeau de 85 vaches pour lesquelles il est toujours au garde à vous.

Ce « tendre gaillard » a perdu son père très tôt et a mis sa vie sentimentale entre parenthèses, « se réfugiant dans le travail pour oublier sa peine ».

Fêtard, rigolo et entouré d’une foule d’amis, de sa sœur et de sa grand-mère qui voudraient tous le voir en couple, ce fan des années 80 a beaucoup d’atouts pour rendre une femme heureuse.

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D’après la Six, il « ne lui manque que la bienveillance d’une Valentine pour attraper à nouveau la maladie d’amour ». « De l’amour à donner, j’en ai une pleine brouette », commente Valentin.

Christophe, 57 ans, vigneron et éleveur d’ovins en Nouvelle-Aquitaine

Christophe est vigneron de père en fils depuis trois générations. Sur les 40 hectares que compte son exploitation, il s’occupe aussi de 150 brebis et 200 agneaux.

Sa production, 100 % bio, est gérée avec son fils cadet, aujourd’hui son associé, destiné à reprendre l’entreprise à la retraite de Christophe, papa de quatre enfants.

Christophe est un homme sensible et très touchant, longtemps passé à côté de l’amour par peur des répercussions sur ses parents. Malgré un climat familial aimant, notre vigneron, amoureux des garçons depuis toujours, a passé plus de 30 années de sa vie à étouffer son homosexualité pour ne pas les exposer au qu’en dira-t-on.

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Il est déjà tombé amoureux d’une femme mais ne s’est jamais épanoui dans l’intimité. 18 ans après la séparation avec son ex-femme, Christophe ne compte à ce jour « que » deux relations avec des hommes. Relations qui ne lui ont « jamais tout à fait apporté ce qu’il recherchait ».

Il recherche « une relation durable et sincère avec un homme aimant la nature et prêt à vivre à ses côtés ». Point bonus s’il partage sa passion pour la décoration et le jardinage.

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