EXCLU – Jean-Louis Aubert pas effrayé par la mort : “J'ai déjà vu le ...
Le 12 avril 2025, Jean-Louis Aubert fêtera ses 70 ans. Trois jours plus tôt, le chanteur sera sur la scène du Zénith de Paris, étape de son Pafini Tour. C'est aussi le titre de son nouvel album qui sort ce vendredi 20 septembre, au lendemain de la publication d'une interview dans le nouveau numéro de Gala, dans lequel l'artiste évoque la mort. "Mon état d’esprit est résolument positif. Quand je regarde ma vie, je n’ai aucun regret, aucune nostalgie. Et face à la mort non plus, je ne suis pas négatif", explique d'abord l'ancien membre du groupe Téléphone.
"J’ai quelque chose de frondeur, je ne dis pas que je ne serai pas un peu timoré au moment où ça va arriver, mais j’ai déjà disparu en restant vivant", raconte-t-il. Avant de détailler : "Il m’est arrivé pour diverses raisons de connaître des near death experiences, des expériences de mort imminente. J’ai vu le fameux couloir blanc, j’ai ressenti cette sensation de bien-être." "Je n’ai pas peur de la mort. Mais bon, il n’y a que des vivants qui en parlent. Alors, méfiance quand même…", conclut-il avec une petite dose d'humour noir sur le sujet.
"Ouvert comme un homard" : ce passage à l'hôpital que Jean-Louis Aubert n'oubliera jamais
Pour le moment, le chanteur de 69 ans, qui a donc côtoyé la mort de près, va bien, mais il y a quatre ans il a été contraint de faire un passage à l'hôpital qu'il n'a pas oublié. "En 2020, quand j’ai dû être opéré [à la suite d'une anomalie cardiaque de naissance, ndlr], j’ai été un peu surpris car je me croyais en bonne santé", explique l'artiste à Gala. Éternel adolescent, le rockeur ne prenait pas cela très au sérieux au départ. "À l’hôpital, je jouais pour les infirmières. On m’a dit que je ferais mieux de me calmer. Je ne m’attendais pas à être 'ouvert comme un homard'", explique l'interprète d'Alter ego.
Cette intervention l'a marqué physiquement et peut-être un peu psychologiquement. "Après l’opération, j’étais tout maigre, on aurait dit un petit oiseau. C’est à ce moment-là que j’ai compris que ce n’était pas anodin", raconte-t-il. "J’ai eu la chance que l’'endormeuse' [l’anesthésiste, ndlr] soit violoniste. Elle a placé une petite enceinte sur mon ventre avec une musique classique très jolie. Je me suis endormi serein", conclut celui qui s'est heureusement réveillé. Pour le plus grand bonheur de ses fans qui le retrouveront sur scène dès le début de l'année prochaine.
Cet article est à retrouver dans le Gala N°1632, disponible ce jeudi 19 septembre dans les kiosques. Pour suivre l'actualité en direct, vous pouvez rejoindre le fil WhatsApp de Gala.
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : MPP / Bestimage