“God of War : Ragnarök”, une crise d'adolescence aux dimensions mythiques
Combattre des dieux à la hache ne suffisait pas à nos guerriers en goguette dans les terres nordiques. Les voici qui se retrouvent au milieu d’une apocalypse annoncée. Le précédent volet de God of War, sorti en 2018,voyait “Kratos et son fils, Atreus, s’embarquer dans une épopée à travers les neuf mondes de la mythologie nordique et jusqu’à leur sommet le plus élevé afin d’y disséminer les cendres de l’épouse de Kratos, rappelle The Guardian. Ce faisant, ils étaient entraînés dans les affaires des dieux capricieux de cette région et déclenchaient par accident le prélude de Ragnarök – la fin du monde.”
Ici s’ouvre le nouveau chapitre, God of War : Ragnarök, sorti sur PlayStation ce 9 novembre. Il s’agit désormais de naviguer dans un monde promis à la destruction (Polygon y voit une métaphore de la crise climatique) tout en luttant contre de terribles prophéties. Il n’est pas indispensable d’avoir joué au titre de 2018, rassure The Washington Post, pour qui cet opus “fait mieux que son prédécesseur à tous les niveaux”. C’est particulièrement la narration qui a séduit le quotidien américain. Et si la question du destin se pose, “en réalité, le jeu regorge de surprises avec autant de scènes facétieuses que de combats sanguinolents”.
Plaisante bastonPoint fort de la licence, et de cet épisode en particulier, le système de baston est bien