Cinéma - Gilles Lellouche, si fort, si fragile
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Par un bel après-midi hivernal, Gilles Lellouche donne rendez-vous à la terrasse d’un café de l’île Saint-Louis, face à la Seine. C’est là qu’il a rencontré Mathieu Amalric pour lui confier le scénario du Grand Bain (2018), son deuxième film comme réalisateur – gros succès public après l’échec de son premier, Narco, en 2004. « Personne ne prenait au sérieux cette histoire de types cabossés qui se retrouvent à faire de la nage synchronisée, se souvient-il, amusé. Moi, j’y croyais parce que je sentais cette espèce de douce mélancolie, de légère dépression gagner les Français. Il se passait quelque chose. Mais c’était avant. Aujourd’hui, j’ai l’impression que les gens se détestent, c’est l’enfer ! »
Assis devant un café serré, l’homme déborde d’énergie et parle vite comme si ses pensées dé...
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Je m'abonne Déjà abonné ? Je m'identifieJULIEN PANIÉ – VALERIE MACON/AFP
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