Gad Elmaleh, toujours sous le charme de Charlotte Casiraghi

Il est des amours qui laissent bien après la séparation une longue traîne d’émotion et de tendresse. C’est visiblement le cas entre Gad Elmaleh et «une princesse, du côté d'un Rocher, dans le Sud». C’est ainsi que l’humoriste a décrit son ancienne compagne, Charlotte Casiraghi, samedi soir dans l’émission de France 2, «Quelle Epoque !» animée par Léa Salamé et Christophe Dechavanne. 

Alors qu’une photo du couple au Bal de la Rose à Monaco en 2013, lui était présentée, Gad Elmaleh a semblé saisi par la nostalgie, ce que n’a pas manqué de remarquer Léa Salamé : «Vous avez un joli regard quand vous la regardez». «Parce que je la trouve très belle, cette photo» a répondu l’acteur-réalisateur de «Reste encore un peu», son nouveau film. Difficile toutefois de savoir s’il parlait vraiment de la beauté du cliché ou de celle de la femme qui était à l’époque à ses côtés, la mère de son fils cadet, Raphaël, 9 ans.  Relancé par l’animatrice, Gad Elmaleh a d’ailleurs confirmé sur un ton plus léger : «Bah elle est très belle, ça oui!». 

Ma mère a sorti une révérence de Marrakech, un truc genre capoeira.

Gad Elmaleh

Puis, retrouvant ses marques, l’invité de l’émission a ironisé sur son noeud papillon «qui dépasse un peu» et lui donne «un petit côté blédard».  «Je l'avais emprunté» précise-t-il avant d’évoquer des anecdotes de sa vie monégasque, en particulier la rencontre de sa mère Régine avec le prince Albert, l’oncle de Charlotte : «La première fois qu'elle l’a rencontré, dans sa tête, il fallait faire une révérence. Sauf qu'elle a sorti une révérence de Marrakech, un truc genre capoeira.»

Une comédie doublement familiale 

Guère étonnant que Gad Elmaleh, connaissant son tempérament fantaisiste, ait proposé à sa mère de jouer dans sa comédie très familiale puisqu’on y retrouve aussi son père, David, et sa soeur Judith. 

Treize ans après le triomphe de «Coco», l’humoriste revient derrière la caméra avec «Reste encore un peu», film au ton beaucoup plus personnel, voire intime puisqu’il  évoque la crise spirituelle que traverse son alter ego au cinéma, tenté de renoncer au judaïsme pour se convertir au catholicisme. Entre la fiction et la réalité, la frontière y est aussi mince qu’entre le rire et les larmes.