Le compagnon d'Elodie Poux atteint d'un trouble : "il a été ...

Ancienne animatrice périscolaire, Elodie Poux est devenue une humoriste incontournable qui a cartonné en 2017 avec son spectacle Le Syndrome du Playmobil. En 2024, elle présente Le Syndrome du Papillon, son second seule-en-scène. Frédéric Lopez a tenu à l'inviter dans son émission Un dimanche à la campagne. Peut-être y parlera-t-elle de son compagnon l'humoriste belge Michel Frenna...

Avec lui, Elodie Poux a une fille de 3 ans. Et comme elle l'a fait savoir, il n'est pas toujours évident d'éduquer un enfant quand les deux parents sont des artistes. Mais le couple a trouvé une organisation. "Quand elle était bébé, je l'emmenais beaucoup avec moi, maintenant, un peu moins, mais on passe beaucoup de temps avec elle. Nous sommes partisans d'une éducation qui laisse à l'enfant le temps de grandir, de faire ses propres expériences", raconte-t-elle à Voici. Et de poursuivre concernant l'éducation de leur fillette : "On lui inculque aussi la notion de consentement. On ne l'oblige pas à embrasser des adultes si elle n'a pas envie et on ne la force pas à manger si elle n'a pas faim. Moi, j'ai été gavée parce que j'étais très maigre. Je crois qu'on répare un peu nos blessures à travers elle."

Elodie Poux et Michel Frenna sont des parents aimants qui font très attention à ce que leur fille ne subisse moqueries et jugements comme cela a pu être leur cas. Elle explique : "Avec son papa, nous sommes des rescapés scolaires. Lui a été diagnostiqué dysorthographique et haut potentiel intellectuel (HPI) à l'âge adulte. Pendant toute sa scolarité, on lui a répété qu'il était nul, alors que pas du tout. Moi, j'étais beaucoup trop sensible pour l'école. Alors, oui, nous sommes très attentifs au bien-être de notre fille."

Elodie Poux souffre d'un trouble

De son côté, Elodie Poux avait déjà dévoilé être atteinte de prosopagnosie. Un trouble neurologique rare qui se caractérise par l'incapacité à reconnaître les visages humains. Dans Le magazine de la santé sur France 5, elle avait d'ailleurs expliqué que ce trouble était "handicapant socialement".