Églantine Éméyé en deuil : la journaliste a perdu son fils
La journaliste de 49 ans a révélé avoir perdu son fils Samy, dans la nuit de dimanche à lundi. Elle a fait part de sa douleur immense sur les réseaux sociaux.
Maeliss Innocenti pour lepoint.frTemps de lecture : 2 min
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« Mon petit ange s'est envolé vers les étoiles. » Églantine Éméyé a fait part d'une terrible nouvelle sur les réseaux sociaux lundi 20 février. La journaliste et animatrice de 49 ans a perdu son fils, Samy, qui n'avait que 17 ans. L'adolescent était autiste et polyhandicapé à la suite d'un AVC. « Cette nuit, à minuit […] mon petit lion au regard si doux s'est envolé vers les étoiles, après 13 jours de lutte », a-t-elle écrit sur Twitter et Instagram.
« Je n'ai plus de mots… seulement une immense douleur, et l'amour infini que j'ai pour lui. Mon Samychou, je t'aime », a également ajouté Églantine Éméyé, qui a rapidement reçu une vague de messages de soutiens de personnalités du monde de la télévision, mais également d'anonymes touchés par son histoire.
Cette nuit, à minuit, mon petit ange, mon voleur de brosses à dents, mon petit lion au regard si doux, s'est envolé vers les étoiles , après 13 jours de lutte.Je n'ai plus de mots...seulement une immense douleur, et l'amour infini que j'ai pour lui.
Mon Samychou, je t'aime pic.twitter.com/QTrA4j6lgD
— ÉMÉYÉ Églantine (@Eglantine_EMEYE) February 20, 2023
Des hommes et femmes politiques ont également tenu à apporter leur soutien à Églantine Éméyé. Le député Karl Olive lui a ainsi adressé ce message : « Chère Églantine, je pense à ton combat, ton amour pour ton petit. L'exemplarité de ton engagement. Notre entier soutien. Courage. Le soleil ne s'éteint jamais. »
Églantine Éméyé se bat depuis des années pour les droits des personnes autistes et atteintes de handicap. Elle a notamment écrit un livre Le Voleur de brosse à dents pour raconter l'histoire de son fils et confier son sentiment d'abandon face au handicap.
« On n'imagine pas la douleur que c'est. La solitude. Je me suis sentie extrêmement seule. Il y a un manque de structures. On est face à un vide intersidéral, il n'y a pas d'établissement. Et quand il y en a, il y a une liste d'attente phénoménale », avait-elle confié en 2015 dans l'émission On n'est pas couché.