Brigitte Bardot : entre la vie et la mort !

L’heure est à la plus grande inquiétude pour notre emblématique icône du 7e art. En effet, à 88 ans, Brigitte Bardot aurait été hospitalisée il y a quelques semaines, et ce, dans le plus grand secret. Une nouvelle épreuve pour cette fumeuse invétérée qui a toujours désiré vivre tout feu tout flamme, et surtout, comme elle l’entendait. C’est en 1973, au faîte de sa gloire et de sa beauté, que la muse de nombreux réalisateurs décide de mettre un terme à sa carrière cinématographique pour se consacrer à la défense des droits des animaux, notamment avec la création de sa propre fondation.

Avec à son actif plus de 45 films mythiques, comme Et Dieu… créa la femme ou Viva Maria ! et une collection de chansons toujours en vogue, telles Moi je joue, Comic Strip ou Harley Davidson, la légende vivante du cinéma, affectueusement surnommée « BB » par le public s’est exilée dans son refuge de la Madrague, près de Saint-Tropez, où elle vit depuis, retirée du monde… Il y a douze ans, en 2011, la star déclarait au magazine Vogue Hommes International : « Comme je suis de nature contemplative, ça me va très bien. Le monde d’aujourd’hui ne me plaît pas. S’il était différent, je vivrais peut-être moins retranchée. » Un véritable choix de vie à l’image du caractère bien trempé de celle qui s’est refusée à subir une opération de la hanche et préfère marcher avec une canne.

Et quand, en 1984, alors âgée de 49 ans, elle se voit diagnostiquer un cancer du sein, la belle refuse catégoriquement de se soigner par chimiothérapie. Une décision face à cette épreuve qu’elle justifiait dans son livre, Larmes de combat, en 2018, expliquant ainsi à Paris Match : « Quand j’ai eu un cancer du sein, ça a été très difficile. J’étais toute seule et j’avais décidé de faire uniquement de la radiothérapie, et pas cette épouvantable chimio, pour ne pas perdre mes cheveux. Elle détruit le mal mais aussi le bien et on en sort anéanti. »

C’est finalement son amie Marina Vlady qui parviendra à la convaincre de suivre un traitement auquel elle devra, deux ans plus tard, d’être totalement guérie.

Une maladie qu’elle avait désiré passer sous silence à l’époque : « C’est resté secret jusqu’au jour où le mal a été derrière moi », ajoutait-elle dans l’hebdomadaire, avec une grande pudeur. Or ce même souci de la discrétion et cette même force de caractère – qui ont toujours guidé Brigitte Bardot – nous font aujourd’hui nous inquiéter pour son bien-être. En décembre dernier, en effet, la compagne de Bernard d’Ormale donnait des nouvelles alarmantes quant à sa santé mentale dans les colonnes du Parisien : « Je vais très mal. Le moral à zéro. » Pour ensuite se rassurer : « Ma fondation continuera après moi, j’ai pris mes dispositions pour que les choses continuent après ma mort. »

À la fois forte et fragile, solaire et sombre, “BB” n’aura pas connu que des jours roses, comme le rappelle l’ouvrage qui lui est dédié, Et Bardot créa la femme, à paraître le 4 mai prochain (aux éditions de L’Archipel). L’autrice, Catherine Rihoit, y revient ainsi sur les nombreuses tentatives de suicide de la célébrité. Or, aujourd’hui, nous apprenons que Brigitte Bardot, plus fragilisée que jamais, aurait été hospitalisée à Toulon, en toute confidentialité, des suites d’une grave insuffisance respiratoire.

Pendant plusieurs jours, la comédienne serait restée en soins intensifs ! Et bien que les médecins, soulagés de l’avoir ramenée à la vie, lui aient prescrit une convalescence raisonnable d’au moins trois semaines dans leur établissement, la belle serait partie au bout de quatre jours ! Direction La Madrague, auprès de ses plus fidèles amis à quatre pattes qu’elle n’entend pas laisser seuls plus d’une journée. Du pur Bardot !

Mais le plus alarmant serait que, d’après nos informations, la star souffrirait de lourdes séquelles du fait de ses difficultés respiratoires et, sans doute, de son déficit d’oxygénation sanguine… des troubles cognitifs touchant à l’expression orale et à l’écriture la handicaperaient ainsi sévèrement. Aussi nous lui souhaitons de tout cœur un prompt rétablissement.

France VIVA