Pour Aurore Bergé, "il y a un malaise profond" au sein de La République en marche

a annoncé sa démission lundi des instances du parti, la députée Aurore Bergé a fait de même au terme du bureau exécutif (BurEx) qui se tenait le soir même, quittant ses fonctions de porte-parole, à l'instar du député de la Vienne Sacha Houlié." data-reactid="23">Alors que le numéro deux de La République en marche (LaREM), Pierre Person, a annoncé sa démission lundi des instances du parti, la députée Aurore Bergé a fait de même au terme du bureau exécutif (BurEx) qui se tenait le soir même, quittant ses fonctions de porte-parole, à l'instar du député de la Vienne Sacha Houlié.

"Il y a un malaise qui est profond", au sein de LaREM, a admis sans peine la députée des Yvelines ce mercredi matin, sur BFMTV-RMC. "On est un jeune parti, un parti qui n'a finalement que quatre ans d'existence, un parti qui emporte avec lui, je crois, beaucoup d'attente", a-t-elle justifié.

ce mouvement (...). C'est ça l'espérance que ça a soulevé. (...) Cette espérance on n'a pas le droit de la décevoir, à la fois en chicayas internes, c'est pour ça que je ne veux pas trop m'étendre sur le sujet, mais je crois qu'il faut qu'on se ressaisisse pour être à la hauteur de ce qui s'est passé au moment de la campagne présidentielle", a poursuivi Aurore Bergé." data-reactid="26">"On a retrouvé l'envie de faire de la politique au travers de ce mouvement (...). C'est ça l'espérance que ça a soulevé. (...) Cette espérance on n'a pas le droit de la décevoir, à la fois en chicayas internes, c'est pour ça que je ne veux pas trop m'étendre sur le sujet, mais je crois qu'il faut qu'on se ressaisisse pour être à la hauteur de ce qui s'est passé au moment de la campagne présidentielle", a poursuivi Aurore Bergé.

Au début du bureau exécutif lundi, Aurore Bergé avait menacé de démissionner de son poste de porte-parole si la proposition de Stanislas Guérini, à la tête du mouvement, de reporter le renouvellement des membres du bureau exécutif après les élections régionales, au printemps, au lieu de novembre, était mise à exécution.

La proposition a été adoptée par 18 voix contre un, et quatre abstentions. Ce qui a provoqué l'annonce d'Aurore Bergé.

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