Artus ne veut plus participer à Fort Boyard et dénonce les épreuves ...
Invité au micro d'On refait la télésur RTL, ce samedi 27 avril, pour présenter son film Un p'tit truc en plus qui sort au cinéma le 1er mai, Artus a raconté le mauvais souvenir qu'il garde de sa participation à Fort Boyard, comme le dévoilent nos confrères de Télé-Loisirs qui ont vu l'extrait en exclusivité. Le réalisateur de 36 ans a participé trois fois à l'émission. Sa première participation remonte à 2014 ; l'humoriste est ensuite retourné défier le fort en 2017 puis en 2018. Mais il n'est pas près d'y revenir. « Vous y retournez cet été ou pas ? » lui a demandé Éric Dussart. « Non », a tout de suite répondu Artus avant de s'expliquer en riant : « Parce que j'ai déjà cicatrisé des autres fois et puis ça va être bon. »
Artus dénonce les dangers de l'émission. « Je crois que le problème, c'est que c'est un fort au milieu de la mer, personne ne va surveiller les épreuves », a expliqué l'acteur. « Vous faites partie des amochés de Fort Boyard et ils sont nombreux », a rétorqué Éric Dussart. « La dernière fois que j’ai tourné […], Hugo Clémentest parti avec le sourire du Joker parce qu’il s’était pris un câble dans la bouche. Moi, mon dos, c'était un bleu entièrement du haut au bas parce qu'on m'a fait rouler dans une cage métallique. Je me suis éclaté le dos. Je ne sais plus qui était parti avec le doigt scalpé », a déclaré Artus. Il a expliqué qu'il pourrait donner de l’argent par d'autres moyens à des associations. Il aimerait également que les programmateurs « envoient un gars qui checke là-bas et qui dise : "Non, ça, on ne peut pas parce que ça risque de briser l'anus du candidat" », a-t-il lancé avec humour.
Artus demande à son public de ne pas le filmer
Avant sa tournée des Zénith prévue en 2025, Artus écume les salles de France pour présenter son nouveau spectacle. Lors de sa prestation réalisée à Amiens, le comédien a accordé une interview au Parisien, qui a rapporté leur rencontre dans un article, paru en février dernier. Avec son humour corrosif, celui qui a été révélé sur le plateau d'On n'demande qu'à en rire sur France 2 ose tout. Cependant, il a confié qu'il interdit à ses spectateurs de le filmer durant le spectacle. Après sa performance, le comédien a expliqué les raisons de cette chasse à la vidéo amatrice, même s'il « assume tout ce qu['il] di[t] sur scène ». « Si on sort une vanne de son contexte, on le sait, ça peut aller tellement vite aujourd'hui », a-t-il confié, conscient de la portée des réseaux sociaux. Pendant toute la durée du one-man-show, un vigile s'assure que la consigne est respectée, armé d'un rayon laser, qu'il n'hésite pas à pointer sur les plus indisciplinés.
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE