"C'était aussi devenue une sœur" : Yvan Attal sort du silence pour la ...
Invité lundi de RTL, le compagnon de Charlotte Gainsbourg s’est confié sur le difficile deuil de Jane Birkin dont il était si proche.
"Jane Birkin s’en est allée après 16 ans d’une bataille acharnée contre la maladie. Depuis son AVC en septembre 2021, sa famille et le merveilleux personnel soignant ont été à ses côtés nuits et jours. Depuis quelques jours, elle marchait de nouveau, était motivée de reprogrammer son Olympia et avait décidé de reprendre son indépendance. Ce premier soir seule, aura été le dernier. Elle l’avait décidé". C’est par ces quelques mots que Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon ont confirmé en juillet dernier le décès de leur mère Jane Birkin.
Discret depuis qu’il affronte ce deuil difficile, Yvan Attal est sorti de sa réserve lundi dans RTL Bonsoir. Le comédien, et compagnon de Charlotte Gainsbourg depuis trente ans, a rendu hommage à celle qu’il qualifie de "belle-mère sublime". "On se serre les coudes, c’est très douloureux mais évidemment, elle était un peu malade donc on pouvait s’y attendre. Mais quand ça arrive c’est toujours surprenant. On ne s’y attend pas quoi, en fait. C’est comme si on ne s’y attendait pas. Vous vous imaginez, la peine pour tout le monde…", a-t-il confié.
La belle relation entre Jane Birkin et la mère d'Yvan Attal
"C'était ma très belle-mère (…) qui était tout à fait généreuse. Mais c'était aussi devenu comme une sœur, moi qui suis enfant unique", a poursuivi Yvan Attal en détaillant ce lien si particulier qu’il a noué avec la chanteuse. "Elle me rendait énormément service en allant voir ma mère quand je n’étais pas là. Des fois, elle me remontait les bretelles quand je n’y allais pas assez. C'était comme une sœur, en jouant ce rôle. Depuis qu'elle n’est plus là, j'ai perdu ma belle-mère, une sœur… Et ma mère aussi a perdu une présence qui lui était très chère", a-t-il confié avec beaucoup d’émotion.
En juillet dernier, c’est sur les réseaux sociaux que Lou Doillon a publié un beau message pour saluer la mémoire de sa mère. "Maman… Il y a Jane B et my Bonnie lyes over the Ocean dans ma tête en boucle depuis dimanche, il y a les lettres d’amour de Jacques, entourées d’un ruban rouge que j’ai trouvées près de ton lit. Il y a ton mot près du mien (…) Il y a toi qui faisais passer tout le monde avant toi, et des fois avant nous. Toi qui aimais ton public plus que tout, plus que tout. (…) Charlotte et Roman hier, nous, près de toi une dernière fois. Maman, merci pour toutes ces aventures, merci de ne pas avoir été ordinaire, raisonnable et docile. Tout ce monde de demain, bien paisible/ raisonné m’emmerde déjà… Et Il y a ton petit Laszlo qui a un an aujourd’hui".