“C'est dur de ne pas être qu'un physique” : Vitaa révèle les difficultés ...

Mercredi 13 septembre, Yann Barthès recevait la chanteuse Vitaa sur le plateau de Quotidien sur TMC. 

L’artiste de 40 ans était présente pour dévoiler son nouvel album très personnel, qui emprunte son titre à son véritable prénom : “Charlotte”. 

La chanteuse se met à nu avec des titres très intimes, dont l’un parle même de son fils. Avec ce huitième album, la meilleure amie de Diam’s prouve qu’elle compte dans le paysage musical français. Après le carton de sa collaboration avec Slimane, c’est seule et encore plus forte que Vitaa fait son grand retour, avant de remonter sur scène dès le mois d’octobre 2024. 

Si aujourd’hui Vitaa est l’une des stars de la chanson française, cela n’a pas toujours été le cas. En effet, au début de sa carrière, beaucoup ne l’ont pas prise au sérieux. 

Elle explique à Yann Barthès : “tu comprends vite que c’est dur de ne pas être qu’un physique quand on est une femme”. 

Elle ajoute : “c’est cinq fois plus dur pour une femme dans ce métier d’être prise au sérieux, de raconter sa vie. Moi je suis auteure, à 20 ans j’ai fait le tour des maisons de disques, avec un album qui était prêt, écrit. Et on s’est pris des portes partout”. 

Vitaa explique qu’on lui disait “ça ne marchera pas. Tu as une voix de noire mais tu es blanche et tu veux faire du R’nB. C’était très clivant”. 

Alors que son amie Diam’s la présente à sa maison de disque, Vitaa se prend un vent et raconte à Yann Barthès : “je me suis dit que ça allait être un peu compliqué que prévu”. 

Mais Vitaa est une battante et raconte que “cinq ans plus tard, on a un album qui sort et qui est numéro un des ventes”. 

Une success story que Vitaa doit à son travail acharné, sa détermination, son talent et à sa bonne étoile. 

Très touchée par le drame qui a secoué le Maroc il y a quelques jours, Vitaa, qui a des amis sur place, a lancé un appel. Ses amies ont mis en place un grand service de dons sur Marrakech et demande à toutes les personnes qui le peuvent de déposer des produits de premières nécessités comme des vêtements, des couvertures ou encore des produits d’hygiène. Des camions feront ensuite le déplacement dans les villages encore bloqués par les décombres.