Saint-Valentin : quelles fleurs de saison offrir pour remplacer les ...

Elles sont indissociables de l'imaginaire de la Saint-Valentin. Les roses seront encore nombreuses sur les tables des restaurants et dans les mains des amoureux ce vendredi soir, à l'occasion du 14 février. Mais opter pour ces fleurs est-il vraiment une bonne idée ?

Les roses poussent en France entre mi-mai et fin septembre, ce qui oblige donc les fleuristes, en plein cœur du mois de février, à importer massivement ces fleurs depuis le monde entier. Certaines viennent des Pays-Bas, mais d'autres traversent la moitié de la planète, puisque des cargaisons proviennent de la Colombie ou encore du Kenya. Pire, selon nos confrères du journal Le Figaro, près de 85% de la totalité des bouquets réalisés en France sont issus de l'importation. 

De belles alternatives

Mais pour les amoureux de la production locale qui cherchent à limiter leur empreinte carbone, des alternatives existent.  Parmi celle qui sera la plus populaire, la tulipe qui représente aussi l'amour. Une tulipe rouge symbolisera davantage la passion et l'amour intense, tandis que la tulipe blanche soulignera surtout l'amour sincère. 

"Ce que j'ai comme alternative, ce sont des anémones ou des renoncules", confie à Europe 1 une fleuriste du 20e arrondissement de Paris. Un choix judicieux puisque les renoncules roses sont synonymes d'un amour naissant, idéal pour un premier 14 février. 

De leurs côtés, les anémones ont une symbolique romantique, mais aussi de persévérance ou encore de confiance. Une fleur destinée aux couples qui ont déjà plusieurs Saint-Valentin à leur actif. Enfin, les clients soucieux d'éviter les roses pourront également se tourner vers le lys ou encore les mimosas. Autant de choix pour marquer l'amour tout en étant soucieux de la planète.