Philippe Katerine se met entièrement nu pour sa première ...
Le chanteur a chanté sa chanson "Nu", totalement dévêtu, lors de sa première chronique hebdomadaire dans la matinale de France Inter, jeudi.
Radio France
Publié le 29/08/2024 15:30
Temps de lecture : 1 min"Vivons comme on est nés, nus..." Le chanteur Philippe Katerine a joint la parole aux actes, jeudi 29 août, peu avant 9 heures, pour sa première chronique hebdomadaire sur France Inter. Celui qui a déjà fait réagir, quelques semaines plus tôt, lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, en chantant dévêtu et peint en bleu, est intervenu entièrement nu dans le studio de la première radio de France.
Une fois installé sur son siège, sous les regards aussi amusés que surpris des présentateurs, Philippe Katerine retire une serviette blanche qui couvrait ses parties intimes. Les jambes croisées, il entame sa chronique et justifie ce coup d'éclat : "La direction m'a proposé ce poste et m'a demandé de chanter ma chanson Nu, et c'est vrai que cette chanson, je n'arrive pas à me résoudre à la chanter habillé."
Philippe Katerine poursuit, dans l'incrédulité générale : "Si ça vous choque, vous pouvez imaginer que je suis peint entièrement en couleur chair. On ne voit bien que ce qu'on veut bien voir, n'est-ce pas ?" Il enchaîne ensuite sur sa chronique, comme si de rien n'était, évoquant la polémique après son passage dans la cérémonie d'ouverture des JO et de multiples anecdotes, puis il se lance pour chanter sa chanson. Sur une mélodie de piano, il fredonne : "Est-ce qu'il y aurait des guerres si on était resté tout nu ? Non. Où cacher un revolver quand on est tout nu ? Où ? Je sais où vous pensez, mais ce n'est pas une bonne idée..." Le refrain invite à vivre "tout simplement tout nu".
Sous les applaudissements nourris, Philippe Katerine termine sa chronique. "Exceptionnel", lance Nicolas Demorand, présentateur de la matinale avec Léa Salamé, qui invite alors les auditeurs à regarder la vidéo. Ils lui donnent rendez-vous jeudi prochain, pour une prochaine chronique, peut-être toujours aussi surprenante.