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La première salve de consultations terminée, Emmanuel Macron a décidé d'écarter tout potentiel gouvernement du NFP. Il invite les partis de gauche, hors LFI, à "coopérer" avec les autres formations politiques pour s'entendre sur un compromis.

21:59

"Affligeant": Boris Vallaud assure qu'Emmanuel Macron "continue d'approfondir la crise qu'il a lui-même ouverte"

Tout comme de nombreux membres du Nouveau Front populaire, le président des députés socialistes à l'Assemblée a fustigé la décision d'Emmanuel Macron d'écarter tout gouvernement issu de la coalition de gauche.

"Il a dissous. La gauche est arrivée en tête. Il ne la nommera pas", a simplement constaté Boris Vallaud sur son compte X.

L'élu a alerté: "Le président continue d’approfondir la crise qu’il a lui-même ouverte. Affligeant."

21:30

"Le chaos, l’instabilité, c’est lui": François Ruffin estime que "le peuple doit écarter" Emmanuel Macron

Le député de la Somme a lui aussi réagi au communiqué de l'Élysée, écartant tout gouvernement du NFP.

"Le forcené de l’Élysée dissout sur un coup de tête l’Assemblée puis s’assoit sur le résultat des élections, a écrit François Ruffin sur X. Le peuple doit écarter Macron, au nom de la démocratie."

Il a alors conclu son post par: "Le chaos, l’instabilité, c’est lui."

21:01

"Une honte": Marine Tondelier estime que le refus d'un gouvernement du NFP est "d'une irresponsabilité démocratique dangereuse"

La secrétaire nationale d'EELV a dénoncé, comme tous les membres de la coalition de gauche, le refus du président de nommer Lucie Castets comme Première ministre.

"Le communiqué d'Emmanuel Macron est une honte", a écrit Marine Tondelier sur X.

Avant d'ajouter: "Invoquer la stabilité quand on a dissous sans aucune concertation et qu'on refuse le résultat d'une élection pour laquelle les Français n'ont jamais été aussi nombreux à se déplacer est d'une irresponsabilité démocratique dangereuse."

20:32

LFI annonce vouloir présenter une motion de destitution contre Emmanuel Macron

Comme annoncé par plusieurs de ses représentants, le parti de la France insoumise a confirmé dans un communiqué qu'une motion de destitution sera présentée par ses députés au bureau de l'Assemblée "dans ces conditions".

Une motion de censure sera également déposée contre toute proposition de Premier ministre autre que Lucie Castets.

"La gravité du moment appelle une réplique ferme de la société française contre l’incroyable abus de pouvoir autocratique dont elle est la victime", a ajouté le parti, mis à l'écart des consultations par le président.

20:26

Fabien Roussel n'ira pas aux nouvelles consultations à l'Élysée dès demain et appelle à "une grande mobilisation populaire"

Le secrétaire national du Parti communiste français a assuré sur BFMTV que le camp présidentiel allait "ouvrir une crise grave dans notre pays" en refusant un gouvernement du NFP et devra "en assumer les conséquences".

Il a d'ailleurs annoncé que, dans l'état actuel des négociations, il ne se rendrait pas demain aux nouvelles consultations à l'Élysées.

"Si c'est pour nous faire venir pour nous demander de constituer un gouvernement qui continuerait la politique du gouvernement au nom de la stabilité (...) ce n'est pas la peine que nous venions à l'Élysée demain", a indiqué Fabien Roussel.

20:18

Gouvernement Castets refusé: Jean-Luc Mélenchon dénonce "une situation d'une exceptionnelle gravité"

Dans la foulée de ses collègues insoumis, Jean-Luc Mélenchon s'est exprimé sur son compte X.

"Le président de la République vient de créer une situation d'une exceptionnelle gravité", a-t-il déploré.

Le leader insoumis a alors exhorté: "La réplique populaire et politique doit être rapide et ferme. La motion de destitution sera déposée. Le moment venu, la censure d'un gouvernement de droite viendra."

20:03

Macron écarte un gouvernement NFP: Bompard dénonce "un coup de force antidémocratique tout à fait inacceptable"

Invité sur BFMTV, le coordinateur national de la France insoumise a dénoncé les propos du président rapportés par l'Élysée dans un communiqué. Emmanuel Macron a écarté tout gouvernement du NFP après une première salve de consultations.

"C'est un coup de force antidémocratique tout à fait inacceptable qui se fait sur la base d'un argumentaire qui n'a tout simplement aucun sens", a dénoncé Manuel Bompard.

Et de poursuivre sur notre antenne: "Le président de la République s'assoit sur le résultat des élections législatives."

19:56

Mathilde Panot annonce que LFI censurera "la nomination de tout autre Premier ministre" que Lucie Castets et menace de destituer Emmanuel Macron

Quelques minutes après le communiqué de l'Élysée, qui écarte la nomination d'un gouvernement NFP, la cheffe des députés insoumis a dénoncé le "déni" du président.

"Je le dis et répète de la façon la plus ferme et solennelle qui soit: nous censurerons la nomination de tout autre Premier ministre", a-t-elle écrit sur X.

Elle a ajouté: "Si le Président de la République s’entête dans son déni, nous engagerons contre lui une procédure de destitution, conformément à l’article 68 de la Constitution."

19:46

Emmanuel Macron exhorte PS, Ecologistes et PCF à "coopérer avec les autres forces politiques"

Dans son communiqué, l'Élysée indique également que le président demande à trois partis de gauche - en excluant la France insoumise - de "coopérer avec les autres forces politiques" afin de s'entendre sur un Premier ministre.

En s'appuyant sur les groupes Liot, Ensemble, Modem ou encore Horizons, qui "se sont montrés ouverts à soutenir un gouvernement dirigé par une personnalité qui ne serait pas issue de leurs rangs", il a ajouté: "Le Parti socialiste, les écologistes et les communistes n’ont à ce stade pas proposé de chemins pour coopérer avec les autres forces politiques. Il leur appartient désormais de le faire."

19:38

Emmanuel Macron écarte l'option d'un gouvernement du NFP au nom de "la stabilité institutionnelle" et ouvre de nouvelles consultations dès demain

Après une première salve de consultations à l'Élysée, le président a annoncé écarter l'option d'un gouvernement du NFP au nom de "la stabilité institutionnelle".

Il ouvrira dès demain de nouvelles consultations "avec les responsables des partis" et des "personnalités".

19:24

Stéphane Séjourné appelle les "formations républicaines", dont le PS et EELV, à "rejoindre la table des négociations"

Face à la menace de censure d'un gouvernement NFP, le secrétaire général du parti Renaissance a exhorté "les formations républicaines, dont les écologistes et les socialistes font partie, à rejoindre la table des négociations".

"La responsabilité du président de la République, c’est la stabilité du pays, a expliqué Stéphane Séjourné auprès de BFMTV. À l’issue des premières concertations qu’il a menées, chacun peut constater qu’une motion de censure contre un gouvernement NFP, avec ou sans ministre LFI, est inéluctable."

Et d'ajouter: "Jean Luc Mélenchon ne peut donc ni se trouver à la table du Conseil des ministres ni derrière le rideau."

19:19

Qu'est-ce que la session parlementaire extraordinaire demandée par le RN?

Ce matin, après avoir été reçue à l'Élysée, Marine Le Pen a dit avoir demandé à Emmanuel Macron l'ouverture d'une session parlementaire extraordinaire pour contrôler l'action du gouvernement.

"Ce que je veux, c'est que l'Assemblée nationale puisse être en situation d'opérer une censure si c'est nécessaire", a-t-elle déclaré aux côtés de Jordan Bardella.

Mais de quoi s'agit-il exactement? Les explications sont à retrouver dans notre article sur le sujet.

18:59

"La macronie se disloque": Mélenchon assure qu'"Attal pousse Macron dehors" en "ruinant" les consultations du président

Quelques minutes après les accusations de "coup de force" du Premier ministre démissionnaire, Jean-Luc Mélenchon a déploré être le "prétexte" d'une "opération" de Gabriel Attal.

"Admirez comment Attal ruine l'opération de rencontre du président avec tous les partis representés à l’Assemblée. Il lui impose une autre méthode de travail", a écrit le leader insoumis sur X.

Et d'ajouter: "Bref: Attal pousse Macron dehors. S'il y a un coup de force, c'est bien celui-là. Avantage: la macronie se disloque. Inconvénient: on ne sait plus qui croire."

18:48

Gérard Larcher quitte l'Élysée après sa réunion avec Emmanuel Macron

Le président LR du Sénat a quitté l'Élysée, peu avant 18h30. Il s'y est entretenu pendant une heure et demie avec le président dans le cadre des consultations pour choisir un Premier ministre.

Gérard Larcher a regagné son véhicule sans faire de déclaration à la presse.

Gérard Larcher quitte l'Élysée après une réunion avec Emmanuel Macron, le 26 août 2024Gérard Larcher quitte l'Élysée après une réunion avec Emmanuel Macron, le 26 août 2024
Gérard Larcher quitte l'Élysée après une réunion avec Emmanuel Macron, le 26 août 2024 © STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

18:17

INFO BFMTV. Gabriel Attal assure que la censure d'un gouvernement NFP serait "inévitable"

Dans un message adressé aux députés de son groupe, que BFMTV a pu consulter, le Premier ministre démissionnaire et chef des députés Ensemble (ex-Renaissance) a dénoncé la "tentative de coup de force" de Jean-Luc Mélenchon.

Le leader insoumis a ouvert hier la porte à une non-participation de ministres LFI dans un gouvernement du NFP.

"Par un retrait putatif de LFI du casting gouvernemental, il a réclamé aux autres groupes un engagement à ne pas censurer un gouvernement NFP qui mettrait en œuvre le seul projet du NFP, un projet qui est le décalque fidèle de celui de LFI, et mettrait la France à genoux", a dénoncé Gabriel Attal.

Et d'ajouter: "Ce que propose Jean-Luc Mélenchon, c’est enlever un nom sur la devanture de la boutique, mais ne rien changer à ce qu’il y a à l’intérieur. Nous ne pouvons pas l’accepter. La censure serait donc inévitable."

17:34

L'ancien député macroniste Sacha Houlié estime que le président doit nommer un Premier ministre "issu des rangs" de la gauche

Le député de la Vienne - ex-Renaissance, désormais non inscrit - a assuré sur X que "personne n’a gagné les législatives mais la gauche est arrivée en tête en nombre de sièges".

"Le président de la République devrait donc nommer comme Premier(e) ministre une personnalité issue de ses rangs", a estimé Sacha Houlié.

D'après lui, la non-participation de LFI à ce gouvernement est "fondamentale" et le NFP doit "proposer un programme de majorité relative pour les prochaines semaines".

17:20

Le NFP ne retournera à l'Élysée que pour discuter d'un gouvernement Castets

Dans un communiqué, le Nouveau Front populaire (NFP) a annoncé qu'il ne retournerait à l'Élysée que pour discuter d'un gouvernement de Lucie Castets.

"Le président de la République doit désormais agir et nommer Lucie Castets à Matignon", a écrit la coalition de gauche.

D'après le NFP, "en retardant la mise en place du nouveau gouvernement, le président empêche l'avènement d'une nouvelle façon de conduire la politique de la Nation que les Françaises et Français attendent".

Découvrez l'intégralité du communiqué dans notre article dédié.

Plus d'informations ici.

17:03

Gérard Larcher est arrivé à l'Élysée

Le président du Sénat, attendu à 17 heures, est arrivé quelques minutes plus tôt à l'Élysée.

L'entretien avec Emmanuel Macron doit durer environ une heure, selon les informations de BFMTV.

Gérard Larcher arrive à l'Élysée le 26 août 2024Gérard Larcher arrive à l'Élysée le 26 août 2024
Gérard Larcher arrive à l'Élysée le 26 août 2024 © STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

16:35

En période politique troublée, l'inquiétude domine chez les chefs d'entreprises aux universités d'été du Medef

L'incertitude politique actuelle pèse sur les universités d'été du Medef. Son président Patrick Martin a évoqué son souhait de voir le Medef exercer "un pouvoir positif" au moment où le pays s'expose selon lui "à de graves errements".

"Les derniers débats électoraux n'ont pas traité d'innovation, d'industrie, de formation, de concurrence internationale, d'investissement, de prix de l'énergie et j'en passe, a-t-il notamment déclaré. Même l'emploi n'a pas été un sujet central."

Patrick Martin a notamment Marti étrillé les propositions économiques du Nouveau Front populaire (NFP), comme le SMIC à 1.600 euros ou l'abolition de la réforme des retraites, et ensuite estimé qu'il faut "imposer le primat de l'économie dans le débat et la décision publics".

13:30

Éric Ciotti "pense qu'il y aura une deuxième vague de consultations"

Après sa rencontre avec Emmanuel Macron, Éric Ciotti "pense qu'il y aura sans doute une deuxième vague de consultations" en vue de nommer un nouveau Premier ministre.

La décision du président de la République "n'est pas imminente", estime-t-il.

13:24

Éric Ciotti estime que "tous les partis" du Nouveau Front populaire "sont dangereux"

Éric Ciotti estime que "tous les partis" du Nouveau Front populaire "sont dangereux", à sa sortie des consultations à l'Élysée avec Emmanuel Macron.

Le patron contesté de LR a promis de censurer tout gouvernement issu de la coalition des gauches.

12:39

Marine Le Pen demande l'ouverture d'une session extraordinaire de l'Assemblée

Marine Le Pen a demandé à Emmanuel Macron l'ouverture d'une session extraordinaire de l'Assemblée nationale avant la nomination d'un Premier ministre et son gouvernement, pour pouvoir éventuellement le censurer.

"Ce que je veux, c'est que l'Assemblée nationale puisse être en situation d'opérer une censure si c'est nécessaire", déclare-t-elle, après son échange avec Emmanuel Macron à l'Elysée.

Alors que les députés doivent se réunir en session ordinaire à partir du 1er octobre, "je ne veux pas que pendant un mois, un Premier ministre puisse par décret, par toute une série de moyens donnés par la Constitution, mettre en oeuvre une politique qui soit toxique, dangereuse pour les Français", insiste Marine Le Pen.

Une session dite "extraordinaire" se tient en dehors de la période prévue ou retenue pour la durée de la session ordinaire. La durée et l'objet de ce type de session doivent faire l'objet d'une convocation spéciale. Elle peut être réunie soit à la demande du Premier ministre ou de la majorité des députés, soit par décret du président de la République (en vertu de l'article 29 et 30 de la Constitution).

12:31

Le RN favorable à des "référendums" en cas de "blocage de l'Assemblée"

Face au "blocage", Marine Le Pen met en avant une solution: celle de "s'adresser directement au peuple" par voie de "référendum".

"Le président a toujours la possibilité en cas de blocage de l'Assemblée de demander aux Français directement leur avis. Nous y sommes évidemment très favorable", explique l'élue d'extrême droite.

12:31

Le Pen estime que l'absence de LFI dans un éventuel gouvernement de gauche "ne change(rait) strictement rien"

Au tour de Marine Le Pen de s'exprimer. Si Jean-Luc Mélenchon a ouvert la porte à un gouvernement du Nouveau Front populaire sans ministres insoumis, la leader du RN estime que "ça ne change strictement rien".

"Le Nouveau front populaire est dirigé par la France insoumise. Le plus brutal, le plus violent, le plus excessif, le plus outrancier est celui qui impose sa loi. C'est ce qui s'est passé pendant deux ans (lors de la précédente législature, NDLR)", accuse l'élue d'extrême droite.

12:24

Le RN votera la censure si un gouvernement du NFP est nommé

"Nous avons indiqué que nous étions en faveur d'une motion de censure à l'égard d'un probable gouvernement du Nouveau Front populaire", assure Jordan Bardella après avoir été reçu, aux côtés de Marine Le Pen, par Emmanuel Macron.

12:20

Le Pen et Bardella ont "fait part de leurs inquiétudes" à Macron

Marine Le Pen et Jordan Bardella sortent à l'instant de l'Élysée et se dirigent vers les micros des journalistes.

Le second prend la parole: "Nous avons fait part au président de la République de nos inquiétudes quant à la situation de paralysie politique", explique le président du Rassemblement national.

11:58

Éric Ciotti est arrivé à l'Élysée

C'est au tour d'Éric Ciotti, président du groupe "À droite" à l'Assemblée et allié du RN, d'arriver à l'Élysée pour sa rencontre avec Emmanuel Macron dans le cadre de la formation du futur gouvernement.

L'entretien du chef de l'État avec Marine Le Pen et Jordan Bardella n'est pas encore terminé.

Éric Ciotti, allié du RN et président du groupe À droite à l'Assemblée nationale, à l'Élysée le 26 août Éric Ciotti, allié du RN et président du groupe À droite à l'Assemblée nationale, à l'Élysée le 26 août
Éric Ciotti, allié du RN et président du groupe À droite à l'Assemblée nationale, à l'Élysée le 26 août © Bertrand GUAY / AFP

10:52

Marine Le Pen et Jordan Bardella sont arrivés à l'Élysée

Jordan Bardella et Marine Le Pen sont arrivés à l'Élysée pour leurs consultations avec Emmanuel Macron, sans dire un mot aux journalistes.

Yaël Braun-Pivet, elle, a quitté le Palais quelques minutes plus tard.

Marine Le Pen et Jordan Bardella à l'Élysée le 26 août 2024 Marine Le Pen et Jordan Bardella à l'Élysée le 26 août 2024
Marine Le Pen et Jordan Bardella à l'Élysée le 26 août 2024 © Bertrand GUAY / AFP

10:50

Pour Ménagé, la rencontre du RN avec Macron est "un moment de communication"

Le député du Rassemblement national Thomas Ménagé n'a pas de grandes attentes avant la rencontre de Marine Le Pen et Jordan Bardella avec Emmanuel Macron.

"Si le président de la République écoute réellement, il pourrait peut-être y avoir des évolutions, mais vraisemblablement s’il continue sur ce qu’il a fait par le passé, c’est un petit peu un moment de communication", déclare l'élu d'extrême droite sur BFMTV.

10:17

Un gouvernement sans ministres insoumis? Olive dénonce un "numéro de claquettes" de Mélenchon

"De la provocation", "un numéro de claquettes à deux balles"... Karl Olive réagit sur Sud Radio aux propos de Jean-Luc Mélenchon, après que le leader insoumis a ouvert la porte ce samedi à un éventuel gouvernement du Nouveau Front populaire sans ministres insoumis.

"Ce n'est pas parce qu'il n'y aura pas de LFI dans le poulailler que Jean-Luc Mélenchon ne sera pas à la plume", estime l'élu des Yvelines.

"Ce n'est pas seulement une histoire de personne", mais aussi de "programme", argue encore l'ancien maire de Poissy, à l'image d'autres élus macronistes, LR et RN.

9:54

Aubry appelle Macron à "ne plus se comporter comme un enfant gâté qui a cassé son jouet"

Manon Aubry fait passer un message à Emmanuel Macron: "ça suffit", dit l'eurodéputée insoumise sur BFMTV, résumant le sentiment qui règne dans une bonne partie de la classe politique face à l'attente concernant la nomination du ou de la future Première ministre.

"Il ne peut plus se comporter comme un enfant gâté qui a cassé son jouet (...). Il faut qu’il tire les conséquences de sa défaite aux élections, qu’il nomme Lucie Castets comme Première ministre", plaide Manon Aubry.

9:29

Yaël Braun-Pivet est arrivée à l'Élysée

La présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet (Ensemble pour la République), grimpe les marches de l'Élysée à l'instant.

Elle ouvre le bal des consultations prévues ce lundi avec le président de la République en vue de la formation du prochain gouvernement.

Yaël Braun-Pivet sera suivie des chefs de file de l'extrême droite tandis que Gérard Larcher (LR), président du Sénat, sera reçu en dernier, en fin de journée.

Les chefs de file de la gauche, de l'ex-majorité présidentielle et de LR ont déjà été reçus vendredi.

Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, à l'Élysée le 26 août 2024 Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, à l'Élysée le 26 août 2024
Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, à l'Élysée le 26 août 2024 © Bertrand GUAY / AFP

9:20

Faure ne "voit aucune" coalition qui permet de rassembler "plus largement" que celle du NFP

Certes, les députés du Nouveau Front populaire n'ont une majorité que très relative à l'Assemblée nationale avec un peu plus de 190 députés (la majorité absolue est à 289 députés, NDLR).

Pour autant, "si ce n'est pas le Nouveau Front populaire qui est nommé (à Matignon), quelle est la majorité moins relative que la nôtre qui serait amenée à gouverner?" questionne Olivier Faure sur France Info.

Et le premier secrétaire du Parti socialiste de poursuivre: "S’il est prouvé qu’il y a une collation qui permet de rassembler plus largement que le Nouveau Front populaire, alors, effectivement nous devrons nous plier. Mais je n'en vois aucune."

8:56

Roussel estime que "la balle est dans le camp présidentiel"

Évoquant le "geste" de Jean-Luc Mélenchon, qui a ouvert la porte à un gouvernement du Nouveau Front populaire sans ministres insoumis, Fabien Roussel estime sur BFMTV-RMC que "la balle est désormais dans le camp présidentiel".

"Je demande au camp présidentiel, au président de la République, de dire qu’ils sont d’accord pour qu’il y ait un gouvernement dirigé par Lucie Castets pour mettre en oeuvre le programme que nous allons présenter aux Français et de ne pas censurer ce gouvernement", déclare le secrétaire national du PCF.

8:49

Roussel accuse les opposants d'un gouvernement avec des insoumis de faire de "l'enfumage"

Fabien Roussel s'en prend aux responsables de partis qui menacent d'une motion de censure un éventuel gouvernement du Nouveau Front populaire avec des insoumis, les accusant de faire de "l'enfumage".

"Là, aujourd’hui, ils disent sans les insoumis. Demain, ils vont dire sans les communistes parce qu’ils mangent les enfants, sans les écologistes parce qu’on veut des corridas en France", fulmine le patron du parti communiste français sur BFMTV-RMC.

LR, le RN, et l'ex-majorité présidentielle ont brandi la menace d'une motion de censure en cas de gouvernement avec des ministres insoumis.

Plusieurs responsables de ces trois formations ont maintenu leur position, mettant en avant le programme du NFP, après que Jean-Luc Mélenchon a évoqué la possibilité d'un gouvernement sans insoumis.

8:28

Sandrine Rousseau accuse Emmanuel Macron de faire de "la petite politique"

"Le chef de l’État fait de la petite politique, il se met les mains dans le cambouis, il fait de la politique partisane", dénonce Sandrine Rousseau sur TF1.

La députée écologiste l'enjoint à nommer Lucie Castets, la candidate du Nouveau Front populaire, à Matignon: "Il est garant des institutions, il y a un groupe qui est arrivé en tête (aux législatives, NDLR), il doit nommer la Première ministre issue de ce groupe", dit-elle.

8:24

Un gouvernement sans ministres LFI? Rousseau évoque une "stratégie habile" des insoumis

Invitée de TF1, Sandrine Rousseau revient sur les propos de Jean-Luc Mélenchon, qui a ouvert la porte à un gouvernement du Nouveau Front populaire sans ministres insoumis ce samedi.

"C’est une stratégie de la part de La France insoumise qui est habile parce que ça permet de voir que le problème ce ne sont pas les ministres insoumis mais bien la ligne défendue par le Nouveau Front populaire", souligne la députée écologiste, alors que plusieurs élus LR et macronistes ont maintenue leur position, malgré cette ouverture.

Pour sa part, l'élue de Paris n'est "pas fan" "d'un gouvernement où on fermerait la porte aux ministres LFI", estimant que cela reviendrait à "donne(r) raison au camp macroniste".

"Ils n’ont pas à choisir qui est dans le gouvernement dans la mesure où ils ont perdu les élections", martèle-t-elle.

8:05

Le RN promet de censurer tout gouvernement du NFP, même sans ministres LFI

"Un tour de passe-passe". Voilà comment Sébastien Chenu qualifie l'hypothèse formulée par Jean-Luc Mélenchon d'un gouvernement du Nouveau Front populaire sans ministre de La France insoumise pour désamorcer la menace d'une motion de censure.

Sur France 2, le député du RN à l'image d'élus LR et macronistes, n'en démord pas et reste sur sa position: "Ce n’est pas une histoire d’hommes, c’est une histoire de programme. Nous censurerons tous ceux qui portent une politique qui est néfaste pour le pays", dit l'élu d'extrême droite.

7:56

Chenu explique que le RN veut faire "prendre conscience" à Macron qu'il a "bloqué" le pays

Jordan Bardella et Marine Le Pen vont "demander" ce matin à l'Élysée à Emmanuel Macron de "prendre conscience de la réalité dans laquelle il a plongé le pays", indique le député RN Sébastien Chenu sur France 2, évoquant une "crise politique".

Faisant allusion aux élections législatives anticipées, le vice-président du parti d'extrême droite ajoute: "Il a réussi le tour de force de manoeuvrer politiquement et de faire en sorte que la France soit bloquée, que notre système politique soit paralysé."

7:22

Fabien Roussel invité de BFMTV-RMC

Le secrétaire national du Parti communiste français (PCF), Fabien Roussel, est l'invité du "Face-à-face" d'Apolline de Malherbe ce lundi 26 août sur BFMTV et RMC à 8h30.

7:03

Pour Wauquiez, LFI est "le plus grand danger politique de notre pays"

Depuis le Mont Mézenc (Haute-Loire), où il a effectué sa traditionnelle rentrée politique, Laurent Wauquiez s'en est pris vivement à La France insoumise, qui représente "sans doute le plus grand danger politique pour notre pays", selon lui.

Le chef de file du groupe de députés de la Droite républicaine a accusé Jean-Luc Mélenchon "d'avoir une responsabilité immense dans la banalisation de l'antisémitisme en France".

Après avoir réitéré vendredi que la Droite républicaine censurerait un gouvernement avec des ministres Insoumis, Laurent Wauquiez n'a pas répondu à la question, posée par Jean-Luc Mélenchon samedi, de savoir si elle ferait de même face à un exécutif dirigé par Lucie Castets sans participation de LFI.

Mais plusieurs élus LR et macronistes se sont exprimés, en expliquant que le problème n'est pas lié seulement aux ministres, mais aussi au programme.

6:42

Laurent Marcangeli pointe, lui aussi, le programme du NFP

Le programme du Nouveau Front populaire, "s'il était mis en œuvre, provoquerait une crise", a prédit le chef des députés Horizons Laurent Marcangeli ce dimanche, promettant dans Le Figaro de s'y opposer "avec tous les instruments que la Constitution nous offre".

Une prise de position similaire à celle d'élus macronistes et LR, après que Jean-Luc Mélenchon a ouvert la porte à un gouvernement NFP sans ministres de La France insoumise pour désamorcer la menace d'une motion de censure.

Au fond, pour tous ceux qui ont échangé vendredi avec Emmanuel Macron, "le sujet c'est autant les ministres LFI que l'application stricte d'un programme du NFP lui-même inspiré de LFI", résume un proche du chef de l'État, interrogé par l'AFP.

5:48

Un gouvernement NFP sans LFI? Lucie Castets "attend la réponse" du camp présidentiel

Lucie Castets pourrait accepter de diriger une équipe PS-EELV-PCF, comme l'a envisagé Jean-Luc Mélenchon ce week-end lors de l'université d'été de La France insoumise.

"Hier, une question a été posée au camp présidentiel: si nous formions un gouvernement sans ministre LFI, s'engagerait-il à nous laisser appliquer notre programme sans censure? Nous attendons toujours la réponse", a écrit ce dimanche 25 août la candidate du NFP pour Matignon sur X.

Lire notre article ici

5:38

François Bayrou juge le programme du NFP "dangereux", avec ou sans LFI

L'idée d'un gouvernement de gauche sans LFI est un "tour de passe-passe", a estimé ce dimanche François Bayrou, justifiant son "opposition" au Nouveau Front populaire en raison de son "programme dangereux pour le pays".

Le patron du Modem était invité sur LCI à réagir à la proposition de Jean-Luc Mélenchon, d'une non-participation des Insoumis à un gouvernement dirigée par la candidate du NFP à Matignon, Lucie Castets.

"C'est une blague et il est parfaitement conscient du tour de passe-passe qu'il essaie de faire", a répondu François Bayrou, expliquant que "l'opposition à la formation d'un gouvernement autour de LFI, ce n'est pas du tout pour des question d'étiquette, de personnalité, ni même de style", mais "principalement en raison du programme qui est annoncé".

5:15

Emmanuel Macron continue ses consultations avant de nommer un Premier ministre

Bonjour à toutes et à tous, et bon réveil. Emmanuel Macron continue ce lundi 26 août ses consultations avant de nommer un Premier ministre, plus d'un mois et demi après les élections législatives qui ont vu le Nouveau Front populaire obtenir une majorité à l'Assemblée nationale. Voici le programme de cette journée pour le président de la République:

  • 9h30: échange avec Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale.
  • 10h45: échange avec Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale, et Jordan Bardella, député européen.
  • 12 heures: échange avec Eric Ciotti, président du groupe À droite à l'Assemblée nationale.
  • 17 heures: échange avec Gérard Larcher, président du Sénat.
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