Jean-Jacques Goldman, une star paradoxale
Il est le grand disparu de la chanson, l’évanoui du show-business, le retranché de cette scène française qu’il a dominée pendant pas loin de trente ans. Jean-Jacques Goldman, « l’hyper-star » que décrit Ivan Jablonka dans son étude sociologique d’un mythe, a quitté la scène au début du XXIe siècle pour ne plus y revenir. Rien n’est définitif dans la vie, sauf, apparemment, la disparition de ce chanteur aux 30 millions de disques vendus.
A Londres, dans le quartier de Wembley, l’un des moins huppés, dans une maison qui n’a rien de plus que ses voisines, vivent le chanteur retraité, sa seconde épouse (Nathalie, prof de maths) et leurs trois filles adolescentes. Dans un angle mort, sous la poussière du renoncement, des guitares, des claviers, un violon peut-être.
Jean-Jacques Goldman, que devenez-vous ? Est-ce qu’il vous arrive de vous sentir un peu perdu dans ce pays qui a coupé les ponts av
Cet article est réservé aux abonnés.
Envie de lirela suite ?
Débloquez immédiatement cet article et tous les autres grâce à notre offre d'été sans engagement
Envie de lire la suite ?
Débloquez immédiatement cet article et tous les autres grâce à notre offre d'été sans engagement
ou Exclusif Google
ou Exclusif Google : -50% la première année
En choisissant ce parcours d’abonnement promotionnel, vous acceptez le dépôt d’un cookie d’analyse par Google.